Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 28/08/2019,
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... en as partout !— De quoi ? Elle m’embrassa avec volupté et continua : — De mon jus. Et elle parsema mon visage de petits baisers, parfois juste effleurés avec les lèvres, parfois plus gourmands, pour "nettoyer" mon visage de son plaisir. — Tu n’as pas eu trop peur ? me demanda-t-elle doucement.— Non… enfin si, un peu. Je n’ai jamais eu de relations…— Avec une autre femme ? Moi non plus ! Elle me fit un clin d’œil appuyé et continua : — Nous avons juste fait l’amour toutes les deux. Et j’ai vraiment aimé te découvrir, te caresser, te boire. Et j’ai adoré te sentir jouir. C’était beau, bon… et agréable. Elle reposa ses lèvres sur les miennes, avec la délicatesse du papillon se posant sur une fleur. Elle entrouvrit sa bouche et sa langue vint caresser mes lèvres encore fermées. Elle se tourna un peu et appuya ses seins contre les miens avec un sourire gourmand. — Il n’y a pas à avoir peur, tu vois. C’est tellement tendre, c’est doux, c’est délicat. Jamais un garçon ne donnera ce genre de plaisir. Ils ne réagissent pas comme nous, ils ne savent pas… En disant cela, elle promenait sa main sur mon ventre et la faisait descendre en décrivant de petits cercles très sensuels. La trajectoire était clairement définie. — Et tu es tellement belle… Ton regard m’a fait fondre dès le premier jour ; je n’ai cessé de penser à toi, à tes courbes, à les imaginer, les fantasmer. Ses lèvres se reposèrent une nouvelle fois sur les miennes. Cette fois-ci, nos bouches se sont ouvertes en même temps ...
... et nos langues se sont retrouvées, passionnées, enfiévrées. Sa main avait terminé son périple érotique et décrivait de lentes caresses entre mes grandes lèvres. Je fondais à nouveau sous ces délices. Je ne pouvais pas dire que j’étais aussi tombée amoureuse, encore que… J’avais définitivement craqué sur la beauté charnelle de son sexe. Elle stoppa le baiser et me regarda dans les yeux, comme une fille qui allait faire une bêtise ou une blague, relever un défi. Elle aussi semblait heureuse, plus que lors de son retour en catastrophe en fin de soirée. — Tu veux toujours voir ma chatte ? La question était brutale, presque indécente ; mais après l’avoir léchée avec passion, je ne pus que rougir une nouvelle fois et lui répondre : — Je crois que… oui. Je chuchotai presque : — Je suis un peu tombée amoureuse de… ça, lui dis-je en glissant une caresse légère sur son pubis et laissant traîner un doigt léger sur la descente de sa vulve.— OK. Va t’asseoir en face de moi, répondit-elle, enjouée. Je vais te faire plaisir aux yeux. Je peux prendre ton gode ? Toujours un peu gênée par cette aisance, j’hésitais à lui répondre un oui franc et massif qui m’aurait fait tant plaisir. Mais j’avançai sur un autre terrain : — Pourquoi pas ? Mais j’en ai d’autres si tu veux. Ça te tente de choisir ? Elle ne s’attendait pas à ce genre de réponse, et la gourmandise prit le dessus : — Oh oui, montre-moi ton attirail… Avec quoi tu prends ton pied ? Je me levai et allai jusqu’à mon tiroir "privé". Il ...