1. Septembre, ses couleurs douces et ses surprises


    Datte: 28/08/2019, Catégories: f, ff, fépilée, jouet, init,

    ... n’était pas plus privé que les autres, surtout que seule, il n’y avait pas grand-monde pour le rendre public. C’est surtout que c’était "le tiroir à sextoys". Nue devant le lit, je jouais à la marchande et Isabelle était devenue la cliente exigeante qui allait choisir son plaisir. — Tout d’bord, nous avons le modèle de base : juste vibro, toucher soyeux. J’exhibai un modèle très basique, le sommet en ogive, solide et désagréable au possible en pénétration. Son seul avantage, c’est qu’en dehors du bruit de moissonneuse-batteuse il vibre très fort et fournit un orgasme sommaire en quelques minutes à peine. La moue de la vendeuse appelait un grand non de la tête de ma cliente. Je poursuivis : — Autre modèle basique : le gode en latex. Mou, long, assez large, texturé. On le sent bien, mais ce n’est pas une vraie bite, soyons claires. Isabelle ouvrit de grands yeux lorsque je prononçai le mot "bite", et ma cliente exigeante refit « non » de la tête. — Un peu plus haut de gamme, nous avons « Le Boss ». Attention, à ne pas mettre entre toutes les cuisses. Elle éclata de rire et s’étonna : — Tu en as combien de dizaines là-dedans ?— Encore un peu, mais pas tant que ça.— Ton boss me plaît assez. C’était un modèle de la même marque allemande que monsieur Rose. Un gabarit relativement imposant aussi, un gland très prononcé qui, selon la lubrification, pouvait aussi bien faire mal qu’ouvrir les portes du paradis. Je retournai un sourire entendu à la demoiselle sur mon lit, refermai mon ...
    ... tiroir à bonheur et revins en face d’elle. Elle me lança monsieur Rose, vu qu’elle n’allait pas s’en servir, puis approcha "Le Boss" de ses jambes. Elle était assise, tenant ses genoux entre ses bras, me regardant avec convoitise et une connivence certaine. Je devinais ce qu’elle allait faire et ne voulais pas en perdre une miette. Elle savait que je savais et faisait tout pour me faire languir. Des petits regards en coin, des petits sourires mutins. Elle m’aguichait. Elle me fit signe de me reculer un peu, ce que je fis. J’étais assise sur mes talons, monsieur Rose dans les mains, et j’étais prête pour le show. Elle s’était préparée pendant que je faisais l’inventaire de mes jouets intimes. Elle avait placé les oreillers derrière elle et s’était maintenant bien confortablement allongée, mais suffisamment inclinée pour pouvoir me regarder et m’attiser de son regard. Elle ne déplia pas ses jambes, mais écarta ses genoux, tout doucement, en me regardant fixement, toujours avec ce sourire gourmand. J’avais quitté ses yeux et ne pouvais maintenant plus regarder que son ventre, son pubis parfait et ce sexe qui était un appel à la luxure. Lentement, ses cuisses s’ouvrirent ; ses grandes lèvres suivirent le mouvement, dévoilant petit à petit le plus parfait de ses trésors. Je devinais son regard toujours planté dans mes yeux, mais mes yeux à moi étaient à dévorer d’envie cette vulve offerte, cet écrin sexuel, ce clitoris encore caché, ces cuisses si douces entre lesquelles je buvais ...
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