1. Une douche en amoureux


    Datte: 04/09/2017, Catégories: fh, ffh, frousses, couple, couplus, douche, amour, Oral pénétratio, couple+f,

    ... restée très longtemps à la surface de ma conscience, et que je ne pensais à ce moment-là plus qu’à moi, à comment tout ça m’excitait et était incroyablement bon. Un dernier coup de sa langue me fit exploser. Il paraît que j’ai hurlé à en réveiller les morts, mais je ne m’en souviens plus. J’étais trop focalisé sur ma jouissance, sur les millions de nerfs en transe que je ne soupçonnais même pas exister, sur les longs jets chauds que je sentais partir dans la gorge de mon Aurélie, alors qu’elle continuait délicatement d’aller et venir avec sa bouche et sa langue. C’est alors que je l’entendis gémir de contentement. Pas grand-chose, un petit « Mmmmh » étouffé par son bâillon de circonstance. Je me raidis. Pas littéralement, j’aurais eu du mal à me raidir plus que je ne l’étais déjà. Mais mon esprit s’était tendu. Je ne reconnaissais pas le son de cette voix, même s’il est vrai qu’elle n’avait prononcé aucun mot. Je retirai à la hâte mon bandeau. Si jamais je me faisais des idées, elle comprendrait que je veuille l’enlever maintenant. Je baissai les yeux ; et là où auraient dû se trouver une chevelure de feu, bouclée et tout, je vis des cheveux noirs, lisses et coupés au carré. Je m’extirpai par réflexe de la bouche de cette inconnue. Cela la surprit et elle leva la tête vers moi, les yeux affolés. Bon sang, ça n’était pas une inconnue, c’était Magali, une pote de fac d’Aurélie, que j’avais vue pas mal de fois et que j’aimais bien certes, mais tout de même, qu’est-ce que… ...
    ... Alors que j’en étais toujours à essayer d’avoir un raisonnement – même pas cohérent, juste un raisonnement m’aurait suffit – elle se tourna vers la porte de la douche qui était en train de s’ouvrir. De l’autre côté se trouvait mon Aurélie, un sourire charmeur en coin. Elle me regarda droit dans les yeux pendant que Magali se relevait. La surprise passée, celle-ci n’avait plus l’air affolée du tout. Aurélie me susurra un « Ça t’a plu ? », avant de rentrer dans la douche avec nous – ça commençait à être exigu – et de se tourner vers Magali pour l’embrasser langoureusement. À peine à quelques centimètres de mon visage encore essoufflé et probablement empreint d’incrédulité. Voir mon amoureuse embrasser ainsi une fille, je ne pensais pas que ça me ferait autant d’effet. Ça m’arrivait d’y penser, et je m’imaginais tantôt jaloux, tantôt émoustillé, mais je n’imaginais pas que les deux sensations se mélangeraient subtilement et que je me retrouverais à avoir une érection de tout les diables, comme si les dernières minutes n’avaient pas existé. La vision que j’avais sous le nez était de l’excitation à l’état pur, mais voir ma chérie embrasser quelqu’un d’autre me faisait bouillir. Je ne voulais surtout pas qu’elle s’arrête cependant, et tout ce que je pouvais faire c’était rester sans bouger à les regarder. Lorsque leurs bouches se quittèrent enfin, Aurélie se tourna vers moi et raconta plus ou moins ceci : — Tu vois, je t’ai pas ramené la-copine-qui-vient-prendre-le-thé, je t’ai ramené ...
«12...567...»