1. Boire un petit coup c'est agréable


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, ff, fhh, 2couples, couple, couplus, nympho, fête, Oral 69, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, entrecoup,

    ... cessait de se frotter à moi. Ses yeux brillaient. Elle m’embrassait, ce qui est bien normal pour un couple de jeunes mariées, mais surtout elle me disait à l’oreille qu’elle voulait faire l’amour, qu’elle était toute chaude et ne cessait de passer sa main sur ma braguette. Comme j’essayais de résister elle m’a quasiment intimé l’ordre de la lécher, me menaçant de "puisque c’est cela j’allais voir ce que j’allais voir" et en même temps faisait glisser sa culotte de sous sa longue robe de mariée. La situation était dérangeante par le fait que sur le siège avant le chauffeur pouvait voir ce qui se passait derrière, mais aussi, troublante de cette demande si tentante et surtout si érotique. Mais, après tout, des jeunes mariés ont des excuses. J’ai plongé. La berline était assez grande et j’ai pu m’agenouiller entre les cuisses de ma femme. La tête sous sa robe j’ai découvert sa minette lisse et humide. L’odeur était forte de toute cette soirée mais si sensuelle. Sa fente ruisselait littéralement et j’ai compris combien elle avait envie. J’aime la lécher. Elle aime que je le fasse. Mais je la sentais si fébrile, si demandeuse, les cuisses écartées pour me laisser le chemin libre que je bandais comme un malade. La voiture a fait une embardée et j’ai cru un instant que nous allions finir dans le fossé, mais tout s’est rétabli. Il faut dire que dès que j’ai touché de la langue sa fente grasse, Stéphanie a poussé un cri qui a dû surprendre le chauffeur. Je ne voyais rien mais j’ai ...
    ... bien senti que la voiture ralentissait. J’imaginais le chauffeur regardait dans son rétroviseur pour chercher ce qui pouvait bien avoir produit ce cri. Il ne devait pas pouvoir me voir à quatre pattes derrière son siège mais de toute façon dès que j’ai repris mes caresses, Stéphanie n’a cessé de parler et de m’encourager. Pas la peine d’être devin pour comprendre ce qui se passait derrière lui. Si elle ne parlait pas, elle poussait des soupirs et des gémissements que même la robe qui me couvrait la tête n’arrêtait pas à mes oreilles. Ce soir-là elle était particulièrement volubile et surtout ne retenait pas sa voix. Combien de "Oui", "Là", "Encore" sont sortis de ses lèvres, entrecoupés de soupirs. Son petit bouton me semblait plus gros que d’habitude. Ma langue ne cessait de le lécher pendant que j’essayais vainement de l’aspirer entre mes lèvres, tellement ma femme se trémoussait. Et puis la lumière est revenue. Stéphanie a entièrement relevé sa robe pour se saisir de ma tête et me guider vers son plaisir. Je pensais au chauffeur qui maintenant devait avoir, au moins, un aperçu de la cuisse dont le pied devait s’appuyer sur le siège passager. Chaque jour depuis je salue son professionnalisme. Moi, à sa place, je ne sais pas ce que j’aurais fait. Mais malgré les hurlements de jouissance de Stéphanie qui cherchait à me noyer sous des flots de son éjaculation que je n’avais jamais vue si prolifique, il nous a conduits à bon port. Le "Tout mon bonheur aux jeunes mariés" résonnait ...
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