Folies en rut majeur (4)
Datte: 29/08/2019,
Catégories:
Erotique,
... passa sur le siège passager, bien installée près du chauffeur. L’Italien l’avait ceint d’un plaid et elle se trouvait presque bien. Son ventre était en feu. Mais les spasmes réguliers qui revenaient à la charge, bien du temps après que les sens se soient apaisés, lui rappelaient que les vagues étaient toujours là. Ni lui ni elle ne parlèrent pendant le retour et aussitôt dans la maison, elle voulut se doucher. Il la dirigea vers la salle de bain, mais auparavant, il l’a saisi par l’épaule, l’obligeant à se retourner. — Merci… tu as été… merveilleuse. J’ai adoré cette sortie champêtre. Nous la renouvèlerons si tu le désires, mais seulement si tu le veux… tu sais je peux te faire gagner beaucoup d’argent. — Gagner de l’argent ? Ce ne serait pas une si mauvaise idée… tu me raconteras cela après mes ablutions ! Cette phrase lancée à la cantonade avait tout de suite accroché l’oreille à l’affut du beau Luigi. Il attendait presque impatient la sortie de la belle pour dialoguer sur le sujet, voir lui expliquer ce qu’il entendait par là. L’eau derrière la porte couvrait tous les bruits. Aline appréciait cette tiédeur bénéfique. Une eau de jouvence qui lui nettoyait les pores de la peau, qui purifiait son âme autant que son corps. Les reins moulus par la généreuse prestation qu’elle avait fournie, elle remettait simplement de l’ordre dans ses sens tenaillés, tiraillés entre la morale et la jouissance. Elle se moquait de Dieu, mais craignait le diable et il portait pour prénom Luigi ce ...
... soir encore, sans aucun doute. Dans le miroir elle examinait avec attention son dos, ses hanches et parvenait à la conclusion que rien n’était visible. Aucune marque, pas de trace de la cravache, rien n’altérait son intégrité physique. Elle avait joui comme jamais et se sentait tellement bien que pour un peu… elle en aurait bien remis une couche, mais en mano à mano cette fois, avec le rital… pour peu qu’il en ait envie aussi. Séchée et pomponnée, elle sortit de la salle de douche nue comme Ève. Ses vêtements, elle ne se souvenait plus vraiment où il les avait déposés. La voyant surgir à poils, il réagissait immédiatement et se portait au-devant d’elle, pour la guider vers le salon. — Tes affaires sont là ma belle ! Fringue-toi et viens t’asseoir près de moi. Tu prendras quelque chose à boire ? — Je veux bien un café ! J’arrive ! Laisse-moi juste une seconde pour… Les mots se perdaient dans le passage de son chemisier. Sa jupe recouvrait de nouveau le bas de son corps alors qu’elle tenait à la main, slip et soutien-gorge. Elle n’avait pas jugé utile de s’encombrer d’accessoires. Il avait servi le « caoua » qui sentait rudement bon. Les Italiens étaient forts en matière d’expresso aussi. — Alors, tu voulais me parler ? Je t’écoute ! — Oui ! Tu pourrais… gagner un max de fric… tu as un beau potentiel. — Et je devrais faire quoi par exemple ? Explique-moi donc ça ! — Et bien ! Tu pourrais certain soir, rencontrer des gens… aisés. — Pute quoi ! C’est bien ce que tu me proposes ! ...