Soirée chez Alexandre
Datte: 04/09/2017,
Catégories:
ffh,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hgode,
gifle,
fouetfesse,
init,
... femme descend une main derrière elle, empoigne le sexe d’Alexandre à travers son pantalon, et en quelques gestes habiles l’en extrait. Gardant ainsi un semblant de contrôle sur la situation, elle le guide vers l’ouverture de son sexe. Alexandre semble hésiter, puis, tout à la paisible certitude d’être convié à un apéritif, investit d’une longue poussée le ventre de la jeune femme. Il est puissant, endurant, sûr de lui, et entreprend après être resté un moment immobile pour mieux savourer sa prise de longs et profonds mouvements, s’arrêtant parfois à l’entrée du sexe pour en stimuler plus particulièrement l’entrée un peu rugueuse. Sa virilité se propage au cœur du ventre d’Amina, comme communiquée par les palpitations de son sexe et la sensation d’envahissement que procure celui-ci. Les mains crochées aux hanches larges, l’homme exulte sa maîtrise de la situation, contrôlant le rythme et la profondeur de la saillie dont le caractère sauvage trouble Amina. Elle aime sentir cette puissance chez un homme : elle la comble, la rassure, la libère d’avoir à assumer sa jouissance tant celle-ci lui est donnée par l’homme qui la prend. Toujours allongée, Audrey a tourné la tête et observe la scène ; la poitrine écrasée sur la surface froide du piano, Amina a allongé ses bras en une attitude d’acceptation pleine de confiance, à cet instant offerte à l’homme qui la possède, rassurée sur ses intentions. Alexandre s’immobilise pourtant, laissant la stagiaire à la crête d’une nouvelle vague ...
... de plaisir, et celle-ci ressent immédiatement une frustration qui se teinte rapidement de colère. Il la tient, il tient la clef de son plaisir, et semble vouloir à présent jouir autant du pouvoir de le susciter en elle que de celui de lui en refuser l’épanouissement complet. Lentement, Alexandre se retire et décolle son ventre de la peau brune. Tordant le cou, Amina le voit lever la main, et avant qu’elle n’ait pu émettre la moindre protestation, cette main s’abat sur ses fesses en une claque retentissante. — Noon ! crie Amina. Alexandre n’en a cure ; il entend claquer ces fesses rondes avant de les écarter posément pour en forcer l’ouverture : Amina n’a-t-elle pas tout à l’heure giflé Audrey ? Quoi de plus anodin que d’administrer une simple fessée… Dans l’esprit de l’avocat, il est dans le ton donné par la stagiaire elle-même, et il n’imagine pas un instant la signification que prennent pour elle ces gestes. — Arrêtez, pas ça ! insiste-t-elle. Les claques s’abattent, fortes, puissantes, maîtrisées pour créer juste assez de douleur afin de les rendre pénibles sans qu’elles ne deviennent insupportables. De son autre main, Alexandre maintient Amina courbée sur le piano. — J’ai dit non ! pose alors Amina d’une voix froide qui marque sans la moindre ambiguïté son refus. S’offrir à la pénétration d’un homme qui lui plaît est une source de jouissance pour elle ; sentir que cet homme commence à la traiter en soumise fait au contraire exploser en elle la même révolte que celle qui ...