1. Ma cheffe était enceinte !


    Datte: 31/08/2019, Catégories: fh, frousses, extracon, Collègues / Travail enceinte, volupté, Oral pénétratio, fsodo,

    ... sans rien dire, je partis à la fontaine à eau et ramenais un gobelet d’eau bien fraîche à Sandra. Je le lui tendis et dis : — Il faut boire. C’est plutôt conseillé pour bébé ! Et, comme un crétin, je rougis ! Je crois que c’est là que je commençais à basculer un peu. Et plus tard j’appris que ce fut pour elle ce moment qui declancha tout aussi. Oui, juste sur cette impulsion, ce petit geste sans prétention et dénué de toute arrière-pensée, que les choses se construisirent. Revenant chez moi, je pensais à Sandra, chose qui ne m’était jamais arrivée auparavant. Le lendemain matin, j’arrivais au bureau. Un café fumant était posé à côté de mon ordinateur, avec un petit mot de Sandra : "Je suis partie en réunion, je reviendrai vers onze heures. Si vous avez besoin de moi, appelez-moi au 23 12, c’est le poste de la salle de réunion." Je jouai aux dames ou au solitaire, ou surfai sur internet, comme je n’avais rien à faire. Vers dix heures le téléphone sonna. C’était Sandra, elle voulait savoir comment se passait ma matinée et si tout allait bien. Sandra ne revint de sa réunion que vers 13h45, sans avoir mangé, le self étant fermé. Je partis précipitamment lui chercher de quoi se restaurer, lui disant que je partais à la machine à café pour qu’elle ne m’interdise pas de m’occuper d’elle. Je revins avec un énorme sandwich grec et un jus d’orange en canette. Confuse, elle ne savait comment me remercier et, bien sûr, me dit que si elle avait su que je projetais d’aller chercher un ...
    ... sandwich pour elle, elle me l’aurait purement et simplement interdit. Le sandwich commençait à dégouliner un peu et, comme de bien entendu, une bonne quantité de mayonnaise tomba sur la robe de Sandra, juste au niveau du ventre. Sandra, confuse, cherchait à nettoyer avec un mouchoir en papier la tache qui s’étalait encore plus. Je courus aux toillettes et ramenai une éponge imbibée d’eau. Dans un geste naturel je me mis à frotter doucement le tissu de la robe, sentant le ventre dur sous mes doigts. Me rendant compte de ma précipitation, sans avoir demandé si je pouvais avoir ce contact presque intime avec elle, je finis aussi précautionneusement et aussi rapidement que je le pus le débarbouillage de la robe. Nous étions tous les deux le regard baissé, gêné par la presque sensualité de mon élan. L’eau commençait à sécher, aucune parole ne s’échangeait plus. Chacun faisait semblant de travailler mais les pensées étaient ailleurs. Je repensais à mon geste et à l’émotion qu’il m’avait procuré. Le temps avait passé sans que nous nous en rendions compte, tout les deux affairés dans notre travail, comme pour nier une certaine évidence de nos désirs cachés qui émergaient avec force, sans que nous puissions y faire obstacle de quelque façon que ce soit. Elle surtout, enceinte et mariée, de désirer un autre homme que le père de l’enfant qu’elle attendait. La nuit était tombée, l’hiver avait considérablement raccourci les jours. Un silence de tombeau régnait. Nous étions les derniers. Le ...