1. Ma cheffe était enceinte !


    Datte: 31/08/2019, Catégories: fh, frousses, extracon, Collègues / Travail enceinte, volupté, Oral pénétratio, fsodo,

    ... sexe, ni trop presser dessus. Je ne pouvais pas décemment la laisser dans cette position aussi inconfortable, à genoux, il fallait quand même prendre soin de la future maman. Je la fis se relever doucement en l’aidant. Les lieux ne se pretant guère aux ébats amoureux, je trouvai une solution. Je m’assis sur le fauteuil de la chef, le sexe pointant vers le ciel. Elle comprit rapidement, et vint délicatement s’assoir sur mon membre. Mon désir le plus profond était de lui procurer le plus de plaisir possible, sans trop penser au mien, dans un premier temps du moins. Je caressai ses seins, leur imprimant des pressions de plus en plus appuyées. Du petit lait, comme en ont certaines femmes enceintes avant l’enfantement, commançait à couler de ses tétons. Sa poitrine entière, déjà bien raffermie par la grossesse, continua à durcir malgré tout. Je caressai son ventre rond. Son corps, sa peau, dégageaient une douce chaleur. Mes mains frolèrent aussi son doux pubis, ainsi que son clitoris, qui prit une dimension honorable. Sandra jouissait au rythme de petits sons, qui trahissaient bien plus le plaisir intérieur qu’elle ressentait que des hululement de chienne en chaleur. Fatiguée de cette position contraignante et ayant doucement joui, Sandra se désaccoupla de moi, se relevant. Bien sûr, elle savait que je n’avais pas encore eu ma part de jouissance. Elle me resuça un peu, puis me dit : — J’aimerai essayer la sodomie, tu voudrais me faire ça ? Mon mari ne trouve pas ça hygiénique. ...
    ... J’aimerai tellement essayer. Je ne sais pas si ce sont mes hormones de grossesse qui me travaillent, mais j’y pense si souvent ! Sans mot dire, je la fis mettre à quatre pattes, l’accompagnant gestuellement. J’écartai ses fesses charnues et lui fit une lubrification anale maison, à base de salive. Une fois assuré que cela devrait suffir et ayant pénetré Sandra de mes doigts, je m’installai derrière elle et commençai par une pénétration en douceur. De petits spasmes anaux se faisaient sentir, révélant de petites douleurs auquelles je tentai de mettre fin en me retirant pogressivement. Mais Sandra appuya dans le sens de la pénétration pour me faire comprendre que je ne devais pas abandonner. Ce langage commun me permit de venir poser mon pubis contre ses fesses, l’ayant pénetrée sur la totalité de ma tige. Des mouvements lents mais rythmés et coordonnés de nos bassins, nous permirent d’atteindre ensemble des crêtes de plaisirs, savoureusement degustés. Sandra murmurait sur le souffle de sa voix des "c’est bon, encore encore" auxquels je répondais "oui ma chérie, moi aussi j’aime". Je commençai à sentir doucement monter la pression en moi et, préférant plutôt jouir cette fois-ci, du moins dans son antre vaginal, je ressortis rapidement mon pénis d’elle. Elle s’ensaisit rapidement des mains, toute excitée qu’elle était de ces moments de volupté qu’elle venait de vivre, et croyant aussi que je voulais jouir en dehors d’elle. Sa masturbation m’emmena presque à l’explosion, que je ...