1. Erreur de jeunesse


    Datte: 31/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    A cette époque, je vivais dans un village à la campagne. Je faisais partie du club de foot. Nos entraînements se déroulaient le samedi après-midi, comme ceux des basketteuses. Nos vestiaires se trouvaient dans le gymnase à côté du stade, comme ceux des basketteuses. Mais les nôtres avaient une différence, les douches collectives, par rapport aux vestiaires, se situaient de l'autre côté du couloir de l'entrée principale du gymnase, et étaient simplement séparées de ce couloir par deux grandes portes battantes. J'étais assez pudique, et me sentais gêné à chaque fois de devoir traverser ce couloir, simplement muni d'une serviette et d'un flacon de gel douche, pour aller me laver derrière ces portes ouvertes aux quatre vents, donnant sur le passage de toute personne entrant ou sortant du gymnase. C'était un samedi banal, après un entraînement comme les autres, j'étais sous la douche avec mes camarades. Comme je finissais de me rincer, je me suis rendu compte que quelqu'un nous observait, la tête passée entre les portes battantes entrouvertes, avec un sourire radieux... J'ai reconnu Virginie, une basketteuse qui passait par là et n'avait pu résister à la curiosité. Elle n'était ni jolie, ni laide, mais plutôt agréable. Elle était brune, assez grande, et avait des formes que beaucoup d'autres lui enviaient. Mais surtout, Virginie faisait partie d'un petit groupe de trois ou quatre nanas connues pour être les plus effrontées, les plus arrogantes, les plus enclines à se jouer de ...
    ... notre naïveté de jeunes hommes prétentieux... Les autres n'avaient pas semblé l'avoir remarquée, j'ai fait comme si moi non plus je ne la voyais pas. J'étais face à elle, faisant semblant de me concentrer sur ma toilette, et je la voyais du coin de l'œil, à quelques mètres de nous, nous observer les uns après les autres. Cet instant a été assez bref, mais malgré ma pudeur excessive, j'en retirai une immense satisfaction. A ce moment une grande bouffée de fierté m'a envahi à l'idée que cette jeune femme puisse témoigner de ma virilité auprès de ses copines, chose dont je ne doutais pas qu'elle ferait dès que possible... Je pensais qu'elle avait été impressionnée, et me voyais déjà profiter d'une aura auprès de toutes les jeunes femmes de mon village. C'est fou comme des fois on peut être naïf... C'est donc tout gonflé d'orgueil que j'ai pris le chemin du retour. J'habitais à quatre kilomètres du village, je les parcourais généralement à vélo. Comme depuis quelques temps, j'avais pris l'habitude de fumer, je me suis arrêté en chemin à la vieille grange à moitié ruinée qui se trouvait à l'écart de la route, dans un petit bois broussailleux. Nous connaissions tous cet endroit depuis notre enfance, c'était un terrain de jeux idéal, à l'abri des regards. Je venais souvent là pour rêvasser, y rencontrant de temps en temps d'autres jeunes qui appréciaient aussi ce lieu pour son côté isolé. Je fumais, assis sur le vieux banc en pierre à côté de l'entrée de la grange, le silence était ...
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