Erreur de jeunesse
Datte: 31/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... habits au fur et à mesure à côté de moi. Je les entendais pouffer dans mon dos, les imaginais quittant leurs vêtements, persuadé que cette situation les excitait elles aussi... Il ne me restait plus que mon caleçon, et j'hésitais à le quitter, je ne savais pas comment me tenir, je bandais comme un fou et mes mains ne suffiraient pas à le cacher quand je me retournerais. Je croyais qu'elles se tenaient, derrière moi, presque nues, cherchant elles aussi à cacher leurs parties intimes. Cette pensée me fit transpirer de plus belle, comme si j'avais de la fièvre. - Bon alors, tu l'enlèves ton calbut ou quoi, s’écria Virginie !? - Mais, hésitai-je n'osant pas regarder derrière... Vous, vous en êtes où ? - Ça y est, nous on est prêtes, on t'attend, affirma Isabelle ! Allez, fais nous voir ton p'tit cul... Je quittai donc mon caleçon, dans la plus grande maladresse et le laissai tomber à regret sur le tas de mes affaires. Je n'osais pas me retourner, je me tenais là, les deux mains masquant à peine mon sexe turgescent, le visage écarlate, trempé de sueur de la tête aux pieds, je sentais leur yeux chatouiller mes fesses. Je me disais qu'une femme excitée pouvait se retrouver nue sans que ça se voie vraiment, ce qui n'était pas mon cas, et je trouvais ça très injuste. Évidemment, vous l'aurez deviné, les deux pestes ne s'étaient pas du tout déshabillées. Je vis tout à coup, avec effroi, Isabelle se ruer sur mon tas de fringues, s'en saisir, et jeter le tout sur le toit, au travers du ...
... trou le plus proche. Un frisson me glaça le dos. Comment ai-je pu être aussi bête !? Sûrement parce qu'au fond de moi, je l'avais bien voulu... Les deux garces se tenaient maintenant devant moi, toutes habillées, montrant du doigt mon entre-jambe dans un fou-rire dément ! Je faisais ce que je pouvais pour me tourner, ne leur monter que mon dos, D'une main, j'essayais de me cacher, de l'autre j'essayais de récupérer mes habits, ce qui était impossible vu qu'il me fallait escalader la charpente. Puis, profitant de mon désarroi, Virginie me ceintura par derrière. Elle était plus grande que moi, et me retenait avec toute sa force alors que je me débattais de la façon la plus ridicule qui soit. Ce n'est pas facile de lutter nu, mais en plus avec une trique d'enfer, contre deux jeunes sportives sadiques et déterminées, c'est peine perdue. Je sentais son survêtement contre mon dos et mes fesses, je sentais ses seins écrasés contre moi... Je ne pouvais pas me servir de mes bras, je subissais complètement la situation. Ces sensations avaient pourtant quelque chose de fantastique. Isabelle attrapa mes jambes, sous les genoux, tandis que Virginie me tirait en arrière, en me serrant sous les bras, ce qui fit que, malgré mes gesticulations, je me retrouvais les quatre fers en l'air, les jambes écartées et totalement exposé, alors qu'elles riaient de plus belle. Ma bite était prise de spasmes, juste sous le regard et la poitrine d'Isabelle. Quelle humiliation de se faire coincer comme ça ...