Marie Christine, génèse d'une soumise (1)
Datte: 01/09/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
L’héroïne, dont les exploits adultes sont relatés dans « L’histoire de Marie Christine » que je lui ai consacrée, avait connu avant de rencontrer son maître, une vie sexuelle assez conventionnelle avec son artisan d’époux. La série qui s’ouvre ici montre qu’elle disposait cependant, dans sa jeunesse en amont de son mariage, de quelques belles prédispositions. A l’âge de 18 ans, bachelière, elle quitta son bled natal pour entamer une vie estudiantine qui ne donna pas de résultats probants. Par contre elle découvrit la vie en général et le sexe plus particulièrement. Fière de son physique, sportive, avec sa poitrine charnue sur un corps musclé, la jeune brune aux cheveux courts affichait 1,65m pour 52 kilos. Ce format de poche ne déplaisait pas aux hommes, qui la courtisaient avec assiduité. Son pucelage, perdu quelques années plutôt avec un garçon de son village, n’était déjà plus qu’un lointain souvenir. Au bout de quelques mois elle avait eu plusieurs amants, dont parfois deux au même moment et même une courte aventure saphique avec une petite blonde, prénommée Jenny. Sa découverte de plaisirs moins ordinaires débuta avec la rencontre de Robert, que tout le monde appelait Bob, à sa demande, car il trouvait ce pseudonyme moins ringard. Bob donc était officiellement le prof de compta dans l’IUT que ne fréquentait pas assidument Marie Christine. Mais ses brèves escales dans ce cours particulièrement ingrat avaient suffi à son enseignant pour la remarquer. Il l’aborda à la fin ...
... d’une séance, à l’occasion d’un de ses brefs passages, et lui demanda si c’était par manque d’intérêt qu’on la voyait si rarement. La réponse de l’adolescente ne laissait guère de doute... Ses parents avaient choisi pour elle cette formation car celle-ci lui donnerait certainement un emploi, mais à titre personnel elle s’emmerdait beaucoup sur les bancs de l’Institut. Elle était beaucoup plus attirée par l’art et la culture, mais pour ses parents ce type d’activités ne la conduirait à rien. Une fois cet impasse évoqué, la conversation prit un autre ton et, comme Bob n’était pas vilain garçon, Marie Christine passa sur ses 45 ans et sur son corps par la même occasion dans la semaine qui suivit. Bob était plus cultivé que les types avec qui elle avait couché auparavant. Il avait aussi plus d’humour. Bref Marie Christine sombra dans un état pénible, parfois exaltée, parfois ayant peur de perdre, état qu’on appelle communément le tomber amoureux. René Kaes a écrit là dessus . Donc je vous laisse à sa lecture, si vous voulez plus d’explications sur le sujet. Robert, dit Bob, avait deux passions, les jeunes filles et le poker. Sa fonction d’enseignant le ravitaillait largement pour la première et sa connaissance des maths lui conférait certains avantages pour la seconde. Il retrouvait régulièrement une bande de zèbres plutôt louches qu’il plumait en général assez facilement. Ce qui est un tour de force tant la plume est rare chez cet animal. Par contre ce soir là, Marie Christine ...