1. Marie Christine, génèse d'une soumise (1)


    Datte: 01/09/2019, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... débarqua chez lui un poil trop tôt. La partie n’était pas finie. Trois types, deux gitans et un marocain, étaient encore attablés en compagnie de Bob. Il la présenta comme sa nièce, ce qui arracha un sourire aux types, tant sa propension pour les adolescentes étant universellement connue. La partie traînait en longueur car les types s’étaient ligués contre Bob. Ils perdaient cependant à tour de rôle mais limitaient la casse. Marie Christine prit une chaise et un peu à l’écart observa plus les gars que la partie, car elle n’entendait rien au jeu. Les deux gitans étaient assez âgés, la soixantaine environ, chauves et gras. Le marocain était sec et anguleux et sa physionomie svelte rendait plus difficile la détermination de son âge. En fait, du haut de ses soixante cinq ans, c’était le doyen de l’assemblée. Question jeu, l’amoureux des probabilités qu’était Bob rentra alors dans un phénomène bien connu des spécialistes de la discipline, la loi des séries. En quelques tours il perdit sa mise initiale et dut se «recaver» à 1 000€, qui disparurent à leur tour comme neige au soleil. Persuadé que le sort aller tourner en sa faveur il persévéra, tel un rat de casino qui s’obstine à jouer le rouge quand le noir sort sans arrêt. Une heure plus tard il accusait un débours de 5 000€ et déclara qu’il mettait un terme à l’hémorragie. On allait s’en tenir là quand l’un des deux gitans, qui matait sournoisement la petite bombe brune à intervalles réguliers, fit une proposition. Il offrit à ...
    ... Bob la possibilité de se refaire en jouant la fille. Bob regarda Marie Christine dans les yeux. Elle était perplexe, ne sachant trop ce que cela entendait pour elle. Prenant son doute pour une réponse positive, le prof valida l’offre. De toute façon poussé par son vice, il aurait donné sa chemise pour continuer, donc la fille était quelque part un moindre mal. rftrqqs La partie reprit. Le hasard des cartes avait ce soir là définitivement choisi son camp. Le plus gros des gitans emporta la manche suivante. Il se leva passa derrière la fille toujours assise sur sa chaise et lui massa le buste à travers son t-shirt. Marie Christine interloquée ne pipait mot. Elle cherchait du regard l’aide de son amant, mais son air amusé l’informa qu’elle ne devait rien en entendre. Elle laissa l’homme la peloter quelques instants. Bizarrement ses caresses rudes générait en elle un émoi inattendu, qui peu à peu prit le pas sur sa pudeur. Le gros bonhomme l’abandonna et reprit la partie. Il gagna encore la main suivante. Marie Christine commençait à se demander si Bob ne perdait pas volontairement. L’obèse libidineux s’approcha à nouveau d’elle et souleva son t-shirt, révélant à l’assemblée un soutien gorge en dentelle noir du plus bel effet. Il enleva finalement le t-shirt et la pelota à travers le tissu. Finalement il saisit un à un les seins de la fille et les dégagea des bonnets protecteurs. L’apparition des organes jumeaux ravit l’assistance. Marie Christine attendit ainsi exposée que le ...