La fête de la musique 2009 (1)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... sur la dernière je faisais l’amour avec Anthony, qui me prenait en levrette. L’ambiance, dans l’appartement était devenue électrique. — Tu ne veux pas nous faire un strip?, m’a demandé Anthony. — T’es dingue, répondis-je. D’ailleurs, Léo ne serait pas d’accord. — Mais si, pourquoi pas, renchérit Léo. — Tu es fou! Qu’est ce qui te prend? Vous avez trop bu? — Ne me dis pas que ça te gêne, je suis bien placé pour savoir que tu adores te faire mater. — N’insiste pas... — Si, allez, fais-nous plaisir, ajouta Léo, de sa voix la plus suave. J’étais incapable de lui dire non, j’ai cédé, et je me suis même prise au jeu. Anthony avait mis un CD de musique au rythme lourd et lent, sensuel, et les vibrations des basses se répercutaient dans le bas de mon ventre. J’ai fini de déboutonner mon gilet, et j’ai joué à l’ouvrir et à le refermer sur mes seins nus. Les deux garçons me regardaient, en caressant leurs sexes à travers leurs jeans, et ils m’ont lancé des cris d’encouragement, lorsque j’ai envoyé valser mon gilet sur le parquet. J’ai continué le même jeu avec ma minijupe, la retroussant et la rabaissant plusieurs fois, avant de la dégrafer, et de la faire glisser très lentement sur mes hanches. Je n’avais plus maintenant que mon tout petit string, et je suppose que je devais les exciter à mort, juchée sur des talons aiguilles. Léo s‘est levé, il est venu derrière moi, et il a baissé mon string, face à Anthony. J’étais à poil. Il a commencé à me caresser et, l’alcool et le joint ...
... produisant leurs effets, je me suis laissée faire, en soupirant de plaisir. Inconsciemment, le regard d’Anthony posé sur mon corps augmentait mon désir. Léo a ouvert son pantalon pour que je le caresse. Nous nous sommes assis, et j’ai extrait sa queue gonflée du boxer prêt à éclater. Je me suis mise à le branler à mon tour, jetant de temps en temps un coup d’oeil à Anthony. — Suce-moi, m’a demandé Léo en se déshabillant entièrement. Je n’ai pas répondu, mais je l’ai pris dans ma bouche, en décalottant son gland. J’avais conscience de m’exhiber, et cela me procurait, comme toujours, un plaisir indicible. Il m’a laissé plusieurs minutes le lécher et le sucer, avant de me demander: — J’ai envie de te faire l’amour, là, tout de suite. Tu veux bien? — Mmm, j’ai envie aussi, ai-je répondu à voix basse. On va dans la chambre? — Non, on va faire ça ici. Anthony adorerait te voir jouir. — Ca va pas? Tu es fou!! — Pourquoi pas? Ose me dire que l’idée ne t’excite pas! — Quand même, faire l’amour devant ton copain… — Mais c’est justement, voyons, insista Léo. C’est mon meilleur pote, et tu ne peux pas savoir à quel point il en a envie. Surtout qu’il te trouve très très belle. — Tu me ferais vraiment faire n’importe quoi… — S’il te plait, Chloé, j’aimerais tant, renchérit Anthony. J’ai protesté encore un peu, pour la forme, mais j’étais vaincue. Léo m’a allongée sur la table basse du salon, et il s’est agenouillé entre mes cuisses écartées. Il a débuté avec de longues caresses sur ma chatte, ...