La fête de la musique 2009 (1)
Datte: 02/09/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
J’ai commencé à écrire mes "confessions" sur xstory, et je crois que le plaisir que je prends à me livrer est partagé par plusieurs lecteurs… et lectrices. D’où ce nouveau récit que j’ajoute aujourd’hui. Cette histoire remonte à près de six ans, mais je m’en souviens comme si c’était hier. C’était le soir de la fête de la musique, en 2009. A cette époque, j’allais prendre mes 21 ans, et j’étais avec Léo, un homme plus vieux que moi de près d’une dizaine d’années, que j’avais rencontré chez des amis. Je sortais alors d’une aventure avec un garçon de mon âge, qui m’avait laissé un très mauvais souvenir. Dragueur invétéré, Léo était aussi un coureur automobile très connu dans la région. Plein de filles était attirées par le prestige que cela lui conférait, d’autant plus que c’était vraiment un «beau mec», et que sa réputation au lit n’avait rien d’exagérée. J’avais été flattée quand il s’était intéressé à moi, et je ne lui ai pas résisté longtemps (plus exactement, pas du tout…). Il me fit vite oublier mes déboires avec son prédécesseur, et je lui dois la découverte du plaisir anal. Avant Léo, quelques garçons avaient tenté de me sodomiser. Ce furent des fiascos: ils s’y prenaient mal, voulaient aller trop vite, et lorsqu’ils cherchaient à me pénétrer, c’était très douloureux. Je me contractais, et nous renoncions. Léo sut vaincre mes réticences liées à ces expériences pénibles, et me convaincre de le laisser tenter sa chance. Il m’avait promis qu’il ne chercherait pas à ...
... s’enfoncer dans mon anus, tant que je ne le lui demanderais pas. Mais je n’étais pas optimiste sur la réussite de sa tentative, d’autant plus que la nature l’avait doté d’un sexe long et surtout épais! C’était sans compter sur son expérience et sa patience; déflorer mon petit cul le motivait… Un soir, il commença par m’embrasser et me caresser longuement, partout. Ses doigts allaient et venaient, entre mes tétons dardés, mon clito sorti de son étui, ma fente, ma rosette, sans chercher à me pénétrer. Je mouillais comme une fontaine, et je gémissais, oubliant presque le projet de Léo. — Tu veux mes doigts dans ta chatte?, me demanda-t-il d’une voix suave, quand il fut évident que je n’attendais que ça. — Oui, vas-y, fouille bien mon minou, il en a besoin, avouai-je. Il plongea directement trois doigts entre mes petites lèvres, m’arrachant un cri de plaisir, et il se mit à les faire coulisser, tout en malaxant mes fesses de sa main libre. Je me tordais littéralement sur mon lit, ivre de plaisir, tout en le branlant presque rageusement. J’avais trop envie de sa bite! Et je finis par le supplier moi-même de me baiser. — Avant que je te prenne, je veux que tu te masturbes d’abord, en me regardant dans les yeux, exigea-t-il. Ensuite, tu glisseras un des tes doigts plein de cyprine dans ton petit trou, pendant que je remplirai ta chatte. Subjuguée, je lui obéis. Agenouillée en levrette, je me cambrais pour exposer mes fesses et ma chatte. Léo me laissa longtemps me caresser seule. Ma main ...