Qui bene amat... bene castigat !
Datte: 04/09/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
frousses,
couple,
extracon,
grossexe,
jardin,
soubrette,
vengeance,
fsodo,
... traverse la place, s’attardant juste un instant aux vasques emplies de fleurs pour respirer leurs effluves. Puis elle reprend son chemin, vers une imposante villa aux murs blancs qui trône sur le sommet de la colline. Elle adresse le plus charmant des sourires au garde, qui le rend bien volontiers à la magnifique créature qui lui passe devant, vêtue d’une nouvelle robe de lin d’Égypte, douce et légère comme une plume d’oiseau. Flavia file à travers l’atrium jusqu’à la pièce principale, où elle trouve Lucrecia, la mère de son Gaius, en train de lire sur une couche moelleuse. — Bonjour, Lucrecia !— Flavia, quelle bonne surprise ! lui répond la maîtresse de maison en se redressant. J’imagine que tu viens voir Gaius ? Je crois l’avoir aperçu en train de se rendre aux cuisines.— Merci, Lucrecia, dit Flavia en commençant déjà à prendre congé.— Ah et au fait, la rappelle sa future belle-mère, quand tu le verras, tu pourrais lui demander de passer me voir ? Il m’avait promis de me faire un brin de lecture, il doit honorer ses engagements !— Bien, madame, je le lui dirais. Et la jeune fille file aux cuisines, tellement ravie qu’elle se permet enfin de courir, sans prêter attention aux esclaves qu’elle peut croiser sur le trajet, à tel point qu’en quelques minutes à peine, elle traverse presque toute la vaste demeure jusqu’aux cuisines. Se souvenant du petit manège de son amant l’autre soir, elle choisit de lui rendre la pareille et de s’approcher furtivement de lui. Arrivant à pas de ...
... louve près de la porte, elle s’arrête net quand elle se rend compte que Gaius n’est pas seul près des fourneaux ; elle distingue clairement sa voix, sans toutefois entendre ce qu’il dit. Elle décide alors d’ouvrir légèrement la porte de la cuisine pour saisir la conversation. Prenant garde à ne pas faire grincer le battant de bois, elle le pousse délicatement pour avoir une vue sur la scène qui se déroule dans la pièce. Et là, elle voit Gaius, son Gaius à elle, le dos tourné à la porte, en train de parler à une petite servante des cuisines. Elle a l’air jeune, dans les vingt ans, comme Flavia, mais c’est incroyable comme elle est toute menue. Elle a les cheveux d’un roux intense, et est couverte de taches de rousseur ; probablement une quelconque esclave ramenée du fin fond de la Gaule, là où l’on dit que les femmes ont parfois de telles chevelures. Mais que veut-il à cette petite souillon ? Flavia doit tendre l’oreille pour écouter : — Allez, ma mignonne, susurre Gaius, laisse-toi donc faire… je suis sûr que ça va te plaire !— Maître, je ne sais pas si…— Tu ne sais pas si quoi ?— Si vous avez le droit de…— Le droit ? Mais tu l’as dit, ma mignonne, dit Gaius en plaquant sa main sur les fesses de la petite, je suis ton maître. Tu n’as pas envie de faire plaisir à ton maître ?— Si, bien sûr… mais votre mère m’a dit que j’avais été prise pour faire la cuisine ?— Eh bien, je te demande juste de me servir un autre genre de plat, voilà tout !— Vous êtes sûr, maître ?— Ne t’en fais ...