1. Tourisme à Notre-Dame


    Datte: 04/09/2019, Catégories: fh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio,

    ... la sépare de moi. Comprenez, j’avais prévu de faire du tourisme moi, sagement. Voir les beaux monuments de Paris, figurer sur quelques photos de Japonais en balade et s’asseoir gentiment au bord de la Seine (pas trop près hein) pour compter fleurette. Seulement voilà cette belle surprise pesait légèrement sur mon esprit et les mots venaient différemment: « Je t’aime, un peu, beaucoup, je te veux là tout de suite…». J’avais désespérément envie d’elle et à mon grand désespoir, le métro n’était pas l’endroit le plus propice à l’assouvissement de nos désirs mutuels. Heureusement, nous arrivons à destination avant que je n’arrache frénétiquement tous ses vêtements. La visite de la célèbre cathédrale est agréable, les vitraux magnifiques, l’ambiance magique mais dieu que c’est long ! J’ai bien du mal à me concentrer sur tout cela, je ne cesse de regarder Louise. L’envie de lui faire l’amour ne m’a toujours pas quitté, l’attente devient de plus en plus difficile. Elle sait que je la regarde, j’en suis sûr, mais elle feint de s’intéresser au sacré plutôt qu’à mon envie profane. Fait-elle vraiment semblant ? Si c’est le cas, cette cruauté est intolérable ! « Et maintenant les toits de Notre Dame, la plus belle vue de Paris » annonce le guide d’un groupe de retraités américains que nous avions discrètement suivi pour profiter de ses lumières, lorsque je pensais encore pouvoir faire taire mon désir pour la tentatrice pendue à mon bras. Nous gagnions donc quelques étages d’énergie ...
    ... potentielle. Sur le toit, j’analyse la situation et trouve rapidement le meilleur parti à en tirer. J’attrape Louise par la main et l’attire à l’opposé du groupe de cow-boys. J’ai repéré un endroit visiblement interdit au public mais protégé par un simple muret. J’enjambe bien vite le muret et aide galamment mon ange à faire de même. Elle ne dit rien, elle sait où je l’emmène, elle sait ce que je veux et je crois lire dans ses yeux des félicitations pour cette remarquable idée. « Merci, Merci… c’est beaucoup de travail, on ne naît pas brillant… » Pour être plus à l’aise pour passer par-dessus la symbolique barrière, Louise soulève sa jupe bien plus que nécessaire, me laissant entrevoir ses remarquables jambes. Elle sait que cela me plaît, elle en joue. Nous sommes seuls au monde, au-dessus de Paris, j’ai la certitude que personne ne viendra nous déranger ici, sauf peut-être les anges, ces gros mateurs, mais j’accepte cette idée avec philosophie. D’autres dans la même situation se seraient penchés au-dessus du vide pour hurler « Je suis le roi du monde ». Je n’en fais rien. J’ai une bien meilleure idée en tête. Sans crier gare (ni rien d’autre d’ailleurs) je plaque l’objet de mes désirs contre un mur qui avait la bonne idée de traîner par là. Nous reprenons le même manége que dans le métro… le public en moins. Prévenues de l’absence de la culotte de Louise mes mains rushent directement vers les fesses nues de la belle. Quand le chat n’est pas là les souris dansent, dit-on. Nos ...
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