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Tourisme à Notre-Dame
Datte: 04/09/2019, Catégories: fh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio,
... de l’être. Ce petit intermède m’a permis de réfléchir à la suite des opérations. — Et si on allait visiter Notre Dame ?— Caresser mes jambes te rend d’humeur mystique ? A moins que ce ne soit mes seins ? Je ne suis qu’une simple mortelle tu sais.— Heu… Je… Ça t’amuse hein de te moquer de moi ?— Oui beaucoup.— Je me disais juste que je n’avais jamais visité Notre Dame, et puis il parait que c’est très romantique comme endroit.— Bien allons-y alors, au pire on se fera prendre en photo par les touristes japonais. Nous nous levons et je fais passer ma femme devant en bon gentleman pour sortir du fast-food, me gardant bien de lui dire que je fais cela pour admirer sa croupe qui ondule devant moi avec grâce. Les hanches de Louise sont larges et ses fesses d’une rondeur à la fois attendrissante et admirable. Si mes parents ne m’avaient pas donné l’éducation qu’ils m’ont donnée, je crois que je lui aurais mis une main au panier tel le premier camionneur venu. Nous prenons le métro pour nous rendre à destination. La rame est quasi déserte. À cette heure les gens sont au travail. Grand bien leur fasse. Qui plus est, nous portons tous les deux de longs manteaux ce qui va nous permettre d’agrémenter agréablement ce court trajet. Louise, collée contre moi a posé sa main sur mon sexe et le caresse à travers mon pantalon. Ma réaction est à la fois rapide, simple et on ne peut plus claire, bref d’une efficacité toute allemande : une belle érection vient de se former sous mon pantalon et ma ...
... désirable chérie s’en rendant compte semble très fière d’elle. « On dirait que je vous plais finalement bel inconnu », me dit-elle innocemment à l’oreille. « Ho que oui » lui répondis-je avec la finesse d’un semi-remorque chargé de machines à laver de contrebande. Joignant le geste à la parole je commence à caresser ses fesses à travers le tissu de sa jupe. De sa main libre elle saisit la mienne et la fait descendre sur sa jambe jusqu’à la limite de sa jupe. J’interprète ce geste comme une autorisation à être plus entreprenant. Je soulève donc lentement sa jupe oubliant totalement les gens présents dans la rame qui de toute façon ne peuvent rien voir grâce à nos manteaux. Tout au plus peuvent-ils imaginer ce que nous faisons. Si cela peut leur apporter un peu de joie, j’en suis fort aise. Mes mains caressent ses fesses, douces, tandis que nos langues reprennent leur ballet interrompu un peu plus tôt. Il y a quelque chose d’inhabituel, je ne réalise pas immédiatement, mais quelque chose n’est pas à sa place. Avec ma lenteur habituelle, je finis par recoller les morceaux. Surprise… Bonne surprise ! J’extrais ma langue de sa bouche et la regarde dans les yeux. « Ca te plait ?» me demande-t-elle avec un petit sourire. Cela me plait c’est une évidence, elle le comprend immédiatement. Je réponds simplement « Oui » tout en continuant à caresser ses fesses, ni vu, ni connu. Louise pour me faire une surprise a « oublié » de mettre une culotte, pas même le plus minimaliste des strings ...