1. L'amour d'un père (1)


    Datte: 04/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... fille. — Je ne vais pas tarder à jouir, ma chérie, c’est trop bon ! En entendant cela, elle m’engloutit pour me pomper de plus en plus fort. Elle cherche à me finir. Je sens les prémices de mon éjaculation arriver. Je laisse ma tête retomber sur le divan en poussant un gémissant bruyant. Je sens la sève grimper le long de ma tige, j’ai à peine le temps de la prévenir : — Nancy... Ça vient ! Ça vient ! J’explose dans sa bouche, et lui envoie de copieux jets de sperme. Je l’entends gémir de plaisir tandis qu’elle m’avale. Je n’arrive pas à y croire. Ma fille avale mon propre foutre, et j’aime ça. Je me laisse aller. Je veux tout lui donner ; comme s’il s’agissait d’amour liquide. J’éjacule une quantité impressionnante avant de m’apaiser. Nancy continue de me sucer pour s’assurer qu’il n’en reste plus rien. Quand elle relève la tête, je remarque qu’elle n’a pas pu tout garder, et qu’une partie de mon jus a débordé sur son menton. Je trouve cette vision terriblement érotique. — Ça va mieux mon papa ? Tu as aimé ? — Je... oui ma chérie... J’ai adoré. Mais qu’est ce que nous venons de faire ? — Rien de mal, répond-t-elle. C’est juste une preuve d’affection d’une fille pour son papa. J’en avais très envie. Elle remet mon sexe dans mon pantalon, ferme ma braguette, et se colle tendrement contre moi pour regarder la télé comme si rien ne s’est passé, du sperme dégouline toujours de ses lèvres. Je ne sais plus où me mettre. Je suis en train de réaliser ce que nous avons fait. J’ai ...
    ... envie de m’enfuir. Je ne sais plus ce que je dois faire. À la première occasion, je trouve le courage de lui dire au revoir, et d’aller me coucher. Je la laisse seule dans le salon et part pour une nuit agitée. Je ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête, et encore moins dans la mienne. Le lendemain, épris de honte, je l’évite autant que je peux. Comme pour lorsque je l’avais surprise en train de se masturber, je n’ai pas envie d’en parler, je veux oublier et de faire comme si ce n’était jamais arrivé. Le matin, dans la cuisine, elle me fait quelques sourires en coin. Je détourne le regard en rougissant. Je prie qu’Angela ne remarque rien. Son comportement me fait peur. Elle n’a pas du tout l’air de regretter ce qu’elle a fait. Dieux merci, les jours suivants se passent sans autre incident. Je pense que tout ceci est dernière nous, jusqu’à ce qu’un matin, Nancy entre dans la salle de bain alors que je suis sous une douche. Elle pénètre sans gêne dans la cabine, pour me surprendre en pleine masturbation. Elle me sourit en prenant ça comme un juste retour des choses. — Mon pauvre papa, tu as de nouveau envie ? Mais il fallait me le dire ! Je t’aurais aidé ! C’est la première fois que je la vois entièrement nue. Enfin, depuis qu’elle était bébé, je veux dire. Je la trouve vraiment magnifique. Elle a des petits seins, mais ils me font terriblement envie. Ils sont juste assez gros pour tenir dans la main. Elle s’agenouille devant moi et me fait une fellation. Une fois encore, ...
«12...456...11»