1. Agent secret en péril (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Transexuels

    ... enfin la vérité sur le souci de sécurité arrivé dans les laboratoires TechGen, il y a quelques jours : un groupe terroriste a essayé de voler de dangereuses souches virales dans un but d’attentat, mais heureusement, grâce à l’intervention d’un de nos meilleurs agents, le Capitaine James Bord, le pire a été évité. Le commando terroriste a été annihilé, et les souches virales protégées. Hélas, l’Etat-major nous confirme que le Capitaine James Bord a été mortellement touché lors de l’intervention. Il a donné sa vie pour sauver celle de millions de personnes. L’information a été tenue secrète le temps d’essayer de sauver le Capitaine, et de démanteler la cellule terroriste. Si cette dernière opération a été un plein succès, le Capitaine James Bord est décédé suite à ses blessures. Le Commandant Harrisson demande à ce qui lui soit donné la médaille du mérite à titre posthume, et un jour de deuil national sera décrété, au vu de la catastrophe évitée grâce à lui… » Bon sang, ils me croyaient mort ! Les secours n’arriveront jamais, ils ne me cherchent même plus ! Un état de profond abattement s’empara de moi. Pas d’évasion possible et plus de secours à espérer ! Le rire de M raisonna à nouveau dans la grotte, tandis que son visage revenait à l’écran… – Ah, ah, ah, de la poudre aux yeux, des mensonges. Ils ne savent faire que ça. Ils n’ont même pas réussi à localiser ma base, pourtant sous leur nez… ah, ah, ah, bande d’incapables ! Nous avons entendu le Commandant faire tes états de ...
    ... services, avec des trémolos dans la voix, il t’aimait bien… ha ha ha… ils te croient mort, et pendant ce temps, toi, tu faisais quoi ? De nouvelles images apparurent à l’écran. Je me voyais, en calebar, à quatre pattes, manger comme un animal dans la gamelle d’un chien… tout était filmé… je me sentais humilié, honteux… Le rire de M résonna dans la pièce. – Quel beau spectacle tu fais ! De nouvelles images passaient, je voyais le réfectoire des gardes de M, où étaient passé ces images de moi, et les hommes de M qui se foutaient de moi… le rire de M raisonna encore, jusqu’à ce que l’écran s’éteignit. Je mis ma tête dans les oreillers si confortables, et pour la première fois de ma vie, je pleurais, honteux, désespéré et abandonné… Un peu plus tard, les deux gardes réapparurent, et déposèrent une nouvelle gamelle de nourriture. Je me jurais de ne pas y toucher. De ne pas donner encore une fois ce spectacle à M et à ses hommes. Mais l’odeur de la nourriture vint jusqu’à moi. Cela sentait si bon. Ma bouche commença à saliver. Le salaud, il avait dû faire ajouter des exhausteurs de goût à la nourriture. Je luttais contre l’envie de manger, mais plus je luttais, plus mon ventre palpitait, plus ma bouche salivait… et vaincu par une sorte de syndrome de manque je me levais, m’agenouillais devant la gamelle, et mettant mon visage contre la grille, je mangeais le ragoût, à nouveau très gouteux. Trop pour être naturel. Rassasié, les syndromes de manque disparus, je me rejetais sur le lit, ...