Agent secret en péril (1)
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
Transexuels
... rétinien. Super. Seuls ceux qui étaient dans la base de données pouvaient ouvrir ou fermer la porte. La porte s’ouvrit. Nous passâmes dans une Après quelques embranchements nous arrivâmes à une porte plus grande que les autres, au fonds d’un couloir qui se terminait en cul-de-sac. Le centre névralgique de la base, surement. Le repaire de M. Là, pas de scan rétinien. La porte ne semblait s’ouvrir que de l’intérieur. Le garde attendit quelque seconde, puis la porte s’ouvrit, et nous entrâmes. Le centre névralgique de la base était à la hauteur de son propriétaire. La pièce était ronde, avec des écrans sur tous les murs. Sur ces écrans, il y avait des données, des films de vidéos surveillances, les informations télévisées de plusieurs pays, et certains servaient à M pour communiquer, sans doute partout dans le monde par vidéo-conférence. Quatre femmes, également habillée de bodysuit, mais en latex ou spandex, et plus serrantes que celles de gardes, ce qui mettait en valeurs leurs formes généreuses, tapotaient des données sur des claviers, organisaient des rendez-vous, chargeaient les prochains programmes que M voulait voir. Lui trônait sur une sorte de trône, moitié gothique, moitié futuriste, trône qui était sur une plateforme qui pouvait bouger, partout dans la pièce. Le garde m’escorta jusqu’au centre de la pièce, puis partit. La plateforme tourna le trône vers moi, puis s’arrêta de bouger et M me toisa un moment. Il portait aussi une combinaison noire, mais sans cagoule. ...
... Elle lui collait assez au corps, mettant en valeur sa cage thoracique puissante, et le paquet qu’il avait à l’entrejambe… tout pour se faire remarquer ! Comme cette façon de parler de lui à la première personne du pluriel, où comme son look. Son crâne était entièrement chauve, il avait une moustache noire à la Dali et un bouc pointu sous son menton, à la Méphistophélès. Un monocle ornait son œil droit. Il était assis bien plus haut que moi, et je devais lever la tête pour le regarder. – Jamie, que nous sommes content de te voir ! Enfin ! Après toutes ces années ! – Mon nom, c’est James. James Bord. – Oui, Jamie, oui. Il paraît que tu es retiré des affaires ? Tu as raison, les services secrets, ça ne vaut pas grand-chose. Enfin, ta petite entreprise de surveillance, c’est pas le top non plus. Heureusement que tout ça c’est fini maintenant ! – Tu es le plus fou des timbrés que j’ai rencontrés ! Mettre la vie de toutes ces personnes en danger avec un virus mortel, rien que pour une petite vengeance, et contre un « retraité » en plus ! Le rire de M résonna dans la pièce, qui montait assez haut, un peu comme une cathédrale. – Ah, ah, ah, Jamie… tes collègues… oups, pardon, anciens collègues, vont avoir une de ces surprises en arrivant à notre bombe… ah, ah, ah… Mon sang se glaça en entendant sa phrase. – Tu… tu ne vas pas la faire exploser ??? – Ah, ah, ah, ah… exploser… mais non ! La bombe qu’ils vont trouver n’est même pas armée ! Je restais pétrifié. – Enfin Jamie… pourquoi ...