Un mari peu entreprenant et sa femme ...
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Première fois
... qui me prend. Une envie non retenue ! Vouloir montrer que c’est moi l’homme ! Que c’est moi qui décide ! Que ce n’est pas une pute qui va me…Mes mains se saisissent de la tête de la femelle et moi, le mâle, je me sers de sa gorge pour me branler. Elle veut plus de diversité ! Elle va en avoir. Sa bouche n’est bientôt plus qu’une piscine que je baise. Mon gland bute au fond. Mes couilles se bloquent contre son menton. Je m’immobilise tout entier en elle comme si je voulais lui faire ravaler tout ce qu’elle m’a dit, tout ce que j’ai entendu dans l’autre chambre, tout ce que j’ai vu sur le lit… Lorsque je me retire, elle tousse, crache et si elle cherche encore mon regard ses yeux sont remplis de larmes. Mais elle ne proteste pas. Pire, je sens sur mes fesses les contractions qui semblent m’encourager. — Mais t’aimes ça ! ne puis je m’empêcher de constater.Sa réponse est un sourire lorsque je la libère à nouveau. Un sourire avec des lèvres grasses, des coulures de salive. Alors je ne me retiens plus. Le peu de pudeur que j’avais encore disparaît. Je ne suis plus qu’une bite raide comme jamais, que je pousse dans la gorge, qui brasse de la salive avec un bruit infâme, abject, mais si excitant au point que bientôt je sens venir ma semence. La seule retenue que j’ai pour cette pute d’un soir, c’est de me retirer un peu, ne gardant que mon gland en bouche pour ne pas l’étouffer avant de cracher mon foutre avec des jets que je sens puissants et généreux.C’est la première fois. On m’a ...
... déjà fait de belles fellations dans mes rencontres d’une nuit, mais jamais au pont de recevoir ma semence et de la boire comme le fait ma salope de femme. Pipes pour exciter avant de recouvrir la queue de latex et pouvoir continuer en toute sécurité. Mais elle, avec son amant, ils se protègent ?Le temps ralentit. Je viens de me vider avec une jouissance particulière et je regarde cette femme qui a la bouche pleine de ma liqueur et qui referme les lèvres sur le liquide poisseux comme si c’était un nectar. Un nectar que je devine disparaître par une déglutition infâme.Comment un visage si souillé peut-il montrer son plaisir ? Les cheveux collés, la sueur, la salive, mon foutre, les larmes, comme étalés par le pinceau d’un peintre lubrique, soulignent son visage. Elle est heureuse, c’est une évidence. Heureuse de m’avoir attiré dans ses filets, détournant le fil de mes pensées de sa trahison ? Heureuse de m’avoir pompé et excité au point de me faire perdre ma retenue ? Heureuse de goûter à mon foutre ? Fait-elle la comparaison avec celui de son amant ?« Partez ! Quittez mon cerveau ! Laissez-moi tranquille ! C’est de ma femme dont vous parlez ! Pas une pute, pas la maîtresse d’un soir ! Mais… quelle différence finalement. C’est même pire… Pire ou mieux… »Elle se relève. Avec un mouchoir elle essuie les souillures. Je ne peux m’empêcher dans un silence coupable, de prendre le mouchoir pour parfaire la toilette. Elle me sourit. Voit-elle dans mes yeux la promesse d’un pardon ? Je ...