Un mari peu entreprenant et sa femme ...
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
BDSM / Fétichisme
Première fois
... ne sais pas. Mais ce que je sais… ce que je sens, c’est sa main qui retrouve mon sexe, ses yeux qui se baissent et qui comme moi constatent que je bande encore. Le sourire s’élargit. Cette érection surprenante lui donne-t-elle une confirmation ? — Oh !Elle me pousse vers le lit. Je m’y assieds. La courtisane défait son chemisier. En se penchant pour enlever sa petite culotte sa poitrine se balance. Lorsqu’elle se redresse ses seins me fascinent. D’un doigt elle me pousse pour que je m’allonge et aussitôt entreprend de me chevaucher. En quelques secondes elle est sur moi, ma queue engloutie dans sa fente. Le fourreau est chaud, humide.Il y a seulement quelques heures, cette fente était…« Chut ».Elle se prend sans retenue. Elle a pris mes mains pour que je caresse ses seins. — Oui, comme ça.Elle m’encourage alors que mes doigts tordent ses tétons. Elle se caresse le clitoris. Elle monte et descend avec une frénésie que je ne lui connaissais pas. Mais qu’est-ce que je connais des nouveaux goûts de ma femme ? Très vite, elle montre tous les signes de la jouissance. Pas cette jouissance toute en retenue ou qu’elle simule alors que je la possède d’habitude. Non, une jouissance extériorisée. Visage crispé, coups de reins rageurs, main qui s’active sur sa fente, feulements, soupirs et gémissements. Voici la nouvelle Clarisse qui se dévoile.Mais son plaisir obtenu, elle semble insatiable. — Viens, dit-elle en me prenant la main.Elle m’entraîne. Étrange cortège de cette femme en ...
... porte-jarretelles et bas, suivie par un homme dont la queue toujours raide fait une excroissance incongrue.La salle de bain. Elle m’entraîne dans la salle de bain. — Viens, mon chéri. J’en ai envie depuis si longtemps. Viens. Viens…Elle s’appuie sur le meuble. Sa croupe est une tentation. Je comprends pourquoi alors que je la vois dans les miroirs. Les reflets nous montrent sous des angles différents. Sa croupe m’attire. Elle me regarde. Elle me sourit. Le soupir qu’elle pousse alors que je la pénètre d’un coup de rein magistral résonne dans la pièce. Moi aussi je nous regarde. C’est bien ma queue que je vois de côté, mandrin horizontal qui ne sort de la fente que pour y retourner encore plus fort et mes couilles qui se balancent…Mais je ne vois pas que de côté. Je vois sa croupe, ses fesses, sa chatte et un peu au-dessus cette tache sombre, plissée qui semble me narguer.« Mais mon Chéri, je vais te dire, il m’a prise par-derrière », m’avait-elle dit à son retour, assumant et revendiquant son statut de femme infidèle totalement guidée par ses sens.Je ne l’ai fait qu’une fois. Une maîtresse plus salope que les autres qui m’avait demandé de l’enculer. C’était spécial, pas désagréable, au contraire, l’anneau et le conduit formant un « vagin » étroit qui étreignait ma bite pour mieux la branler.Comme je m’immobilise, Clarisse me regarde. Elle voit le chemin de mes yeux. Son sourire est chargé de sous-entendus : — Allez, qu’est-ce que tu attends ? Je t’ai dit que mon amant me prenait ...