Une soirée mémorable
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
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Je me souviens, nous avions encore notre restaurant. Un couple de copains s’éternise après le départ des derniers clients ; pour ne pas être importunés par un client trop tardif, la porte est fermée et les rideaux tirés. Nous dégustons un dernier verre offert par les patrons (nous) tout en papotant. Je suis à côté d’Arlette, Nathalie en face à côté de Jacky, le mari d’Arlette. Lui plutôt bel homme, moustachu. Elle, je dirais « banale » brune, un peu ronde, surtout du cul ! Mais sympa. Il m’est déjà arrivé à d’autres occasions, assis à ses côtés, de coller ma cuisse à la sienne pour voir sa réaction. Oui, je suis assez dragueur ; elle n’a jamais reculé pour rompre le contact… c’est d’ailleurs l’occurrence ce soir. Dans la conversation, nous parlons d’aménagements que nous venons de faire dans la réserve. Surprise ! Jacky demande : — Dis donc, Nathalie, tu devrais me montrer ; cela m’intéresse. Bizarre ! Vous avez dis bizarre ? En quoi cela peut-il l’intéresser ? Ce n’est pas du tout son secteur d’activité ! Voudrait-il se retrouver seul avec Nathalie ? J’ai déjà remarqué son intérêt pour elle, disons pour son physique, reluquant son décolleté ou ses jolies jambes lorsqu’elle est en minijupe, ce qui est le cas ce soir. Assis à côté d’elle, il a dû en profiter. — Si tu veux, lui répond ma chérie. Les voilà partis vers les arrières. — Je ne crois pas qu’il s’intéresse vraiment aux travaux, dis-je à Arlette ; je pense qu’il s’intéresse davantage à Nathalie ! J’en profite pour, en ...
... plus de la pression de ma jambe, poser ma main sur sa cuisse ; elle ne bronche pas et dit : — Tu as sans doute raison ; Nathalie est très jolie, et plus d’un souhaiterait certainement pouvoir en profiter… Je sais que c’est le cas, et comme nous sommes libertins, plus d’un en a effectivement profité : je l’ai déjà vue jouir des coups de reins de quelques amis intimes, le plus souvent en profitant moi-même de la compagne de l’ami ! Ma main fait remonter la jupe de notre amie et est au contact de sa cuisse dénudée. Nous sommes en été ; pas de bas. Je commence à bander. Elle ne réagit toujours pas. Je monte d’un cran et frôle le tissu de sa culotte. Elle me regarde. — Oui, laisse ta main, j’aime. Je ne suis pas jolie comme ta femme ; j’aimerais bien te faire bander quand même.— Tâte : tu verras par toi-même ! C’est vrai que dès que j’ai senti le contact de sa chair nue j’ai commencé à durcir dans mon slip. Sa main s’est posée sur ma braguette. — Mais c’est vrai : tu bandes ! Oh, caresse-moi la chatte, j’en ai envie ! Je ne me fais pas prier et un doigt glisse sous le tissu pour rencontrer une fente ma foi bien humide. Elle me branle au travers de mon jean. C’est à ce moment que nos conjoints reviennent de leur exploration ; si ce n’est de la réserve, en tout cas du décolleté de Nathalie ; celui-ci bâille un peu plus que précédemment, un bouton de trop est ouvert. Aussi sans retirer ma main de là où elle se trouve, je leur dis : — Dis donc, Jacky, à voir la tenue de Nathalie, je ...