Une soirée mémorable
Datte: 05/09/2019,
Catégories:
2couples,
couplus,
caférestau,
intermast,
69,
échange,
init,
... suppose que tu as fait plus intimement connaissance avec les seins de ma chérie. Arlette et moi aussi. Personnellement, c’est plutôt avec ses dessous que je fais connaissance. Alors pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Sauf si quelqu’un a une objection. — Sûrement pas moi, répond Jacky ; depuis le temps que je rêve de tenir Nathalie dans mes bras… Tu n’es pas jaloux ?— Ni moi, rétorque Arlette, si François veut bien de moi, et si mon mari n’est pas jaloux.— François n’est pas jaloux, et je suis certaine qu’il s’occupera très bien de toi, crois-moi ; je connais ses capacités ! intervient Paule. Elle ajoute à l’intention de Jacky : — Si tu n’es pas jaloux de ta femme, alors je verrai ce dont tu es capable.— Alors, que la fête commence ! dis-je. Sans attendre, Jacky, derrière ma chérie, a replongé sa main dans le décolleté dont il avait déjà débuté l’exploration précédemment, et donc sans surprise tâte le sein de Nathalie qui ne porte que rarement un soutif. En face de nous, l’autre main de Jacky est descendue, et remontant la jupette de Nathalie, la masturbe allègrement. Je la vois enlacée par son partenaire, une main sur un téton, l’autre dans sa culotte. Elle, une main derrière son dos, a ouvert la braguette et extirpé un engin ma foi pas inintéressant et le masturbe. J’ai de mon côté maintenant deux doigts dans sa chatte et j’embrasse ma partenaire à pleine bouche, nos langues s’excitant l’une l’autre. Elle, de son côté, a ouvert ma ceinture et la fermeture de mon jean et a ...
... plongé sa main dans mon slip pour dégager ma verge et la branler à pleine main. Les vêtements commencent à se retrouver au sol ; je découvre la petite poitrine d’Arlette dont le soutien ôté révèle des tétons érigés. Je la fais lever, et comme nos conjoints nous terminons notre déshabillage. Ce sont quatre corps nus qui, deux à deux, face à face maintenant, se masturbent mutuellement. Les femmes montent et descendent leurs mains sur nos bâtons de chair tandis que nos doigts plongent dans leur chatte. Je vois que ma chérie apprécie les caresses de son partenaire, j’aime entendre son souffle, prémices au plaisir. Arlette, sous mes caresses, a déjà une première jouissance. — Oh, François, oui ! Oh, c’est bon. Je jouiiiis ! En face, Paule. — Oui, Jacky, fais-moi du bien ! Oh ! Oui, c’est bonnnnnnnnn ! Après cette entrée en jouissance, Jacky et moi avons la même idée ; et c’est en 69, allongés sur la moquette que je découvre, le nez dans sa toison sombre et velue, le clito érigé d’Arlette qui ne demande qu’à être sucé, léché. Elle a pris mon membre circoncis entre ses lèvres et suce avec avidité mon gland. L’abandonnant un instant, elle dit dans un souffle : — C’est trop bon, j’aime gober ta grosse queue, fais-moi jouir encore. À nos côtés, si Nathalie a décalotté la verge de son complice pour sucer son gland turgescent, lui a découvert dans la toison blonde de ma chérie un clito petit mais sensible. Nous sommes tous quatre excités, comme toujours avec un nouveau partenaire, et je ...