1. Solène violée par tros loubards


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Anal Transexuels

    ... J’en avais sucé bien d’autres. L’homme m’appuyait sur la tête me forçant à suivre sa cadence. Je m’appliquais sur la verge, emplissant ma bouche de salive, pour la rendre aussi accueillante qu’une chatte.- On voit que tu aimes ça ma salope, tu dois en bouffer des bites ?La bouche complètement envahie par cette queue m’empêchait de répondre. De toutes façons l’homme ne voulait qu’une chose, sefaire reluire la bite. Après ma frayeur du début, je commençai à apprécier la situation. Surtout que le deuxième loubard pelotait toujours mes seins. Il les empoignait à pleines mains, puis me tirait les bouts. Ces deux mecs me rendaient folle.Pompant toujours vaillamment la bite, je sentis la voiture ralentir, j’entendis un rideau métallique s’ouvrir, puis se fermer une vingtaine de secondes après.La voiture s’était arrêtée. On me fit descendre et en même temps on m’enleva mon bandeau. J’étais dans une sorte de loft. D’un côté une petite partie servait de garage, tandis que le reste servait d’habitation.- Madame est arrivée. Tu as de la chance, tu vas avoir trois bites pour te défoncer.- Déloques-toi en vitesse que l’on voit ton cul de pouffe.J’enlevai mon manteau, puis ma robe suivit. Je n’avais plus que mon porte jarretelles, mon string et mes chaussures à talons.- Alors le spectacle vous plaît mes petits salauds ?- Tu manques pas de culot pour une gonzesse me dit celui qui semblait être le chef.- Comme de toutes façons je passerai à la casserole, j’aime mieux m’offrir à vous et ...
    ... profiter de vos bites.- Eh ben au boulot petite pute.Obéissante, je m’agenouillai devant le chef. Quelques secondes me suffirent pour ouvrir la braguette et sortir la queue du chef. Je dois dire que la bête était superbe. Il bandait déjà pas mal, et le gland était à moitié découvert. Je me mis à branler le sexe, une petite goutteperla au bout. D’un coup de langue je la lapai, puis j’enfournai la bite dans ma bouche. Heureusement, dame nature m’a doté d’une grande bouche, car l’engin volumineux y rentra tout juste. Je pompai le nœud, m’amusant de temps en temps à l’absorber jusqu'à la racine. J’entendais en même temps les commentaires.- Ça c’est une bouffeuse de bite, regardez les potes elle me bouffe toute la queue !Ils pouvaient dire tout ce qu’ils voulaient l’essentiel pour moi était de sucer ce vit magnifique. Mes lèvres coulissaient le long de la colonne de chair, à chaque retrait le membre apparaissait couvert de ma salive. Le gland luisait, chaque fois que je lui pressai la tige une petite goutte perlait au bout. Un régal pour suceuse. Variant les plaisirs, je descendis lentement avec ma langue le long de la tige, puis léchai les testicules, avant de les avaler une à une.- Continue connasse broute moi bien les couilles, profites en, car je suis sûr que tu dois rarement en bouffer d’aussi grosses.Les deux autres compères s’étaient rapprochés, la queue à la main. Je ne pouvais pas les laisser dans cet état. Pompant à nouveaul’engin, j’attrapais les deux mâles par la queue, et ...