1. Solène violée par tros loubards


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Anal Transexuels

    ... gouttes de foutre.Derrière moi un autre glissa sa queue dans ma raie, et d’un coup de reins m’encula. Mon cul bien dilaté par le précédent occupant se fit mettre sans douleur. Quel pied, mes chéries d’être pinée aussi sauvagement. Je n’avais plus que deux mecs qui me baisaient, le chef, son affaire faite s’était avachi sur un canapé, tout en sirotant une bière. Malheureusement, mon enculeur devait être abonné au clubdes éjaculateurs précoces, car il se mit à jouir bruyamment au bout de quelques minutes. Il se vida longuement par saccades, m’emplissant le cul de jus tiède, puis retirant sa bite termina son éjaculation sur mes fesses. Sans doute excité par la vue de son copain jouissant sur mon cul de chienne, celui que je suçai, m’empoigna les cheveux et se mit à baiser ma bouche à toute allure. J’avais l’impression qu’une immense bite traversait tout mon corps, prise à fond par les deux bouts.Un jet de sperme m’inonda la gorge suivit de plusieurs autres qui m’inondèrent le visage. L’émission de foutre était tellement abondante que j’eus un mal fou à déglutir. Péniblement j’avalai une partie de ce jus délicieux, en même temps je sentais le jus couler sur mon visage. Un dernier spasme du mâle me rinça encore la glotte. La bouche pleine je pompai toujours la queue gluante, un vrai régal pour une salope. Pendant ce temps mon enculeur, malgré sa jouissance, continuai à me pistonner, excitée par tout ce foutre etles délicieux sévices subis, je me branlai furieusement, puis à ...
    ... mon tour je déchargeai violemment. Mon enculeur se dégagea, puis me retournant j’avalai sa queue pour un petit nettoyage bien mérité. Une fois terminé, à ma grande surprise l’homme m’attira à lui et me roula un superbe patin.Les trois loubards , rassasiés de sexe s’étaient affalés dans le canapé et sirotaient des bières en rotant bruyamment, tout en faisantdes commentaires sur la baise qu’ils venaient de s’offrir.Quand a moi j’essayais tant bien que mal de réparer les dégâts. Ma provision de kleenex ne suffisait pas à nettoyer le foutre dontj’étais couverte. De longues traînées de foutre maculaient mes cuisses, quand à mon visage, il était tout poisseux de jus.Prenant pitié de mon état, le chef m’indiqua le fond du garage.- Si tu veux, tu peux aller te laver le cul, il y a une douche dans le coin de la pièce.Salope jusqu’au bout, je me dirigeai vers la bouche en tortillant du cul.- C’est vraiment une chaude du cul cette pouffiasse ! s’exclama un des trois.- Avec ce qu’on lui a mis dans le cul çà devrait la calmer un moment.Pendant ce temps je m’étais déshabillée, et me rinçais sous le jet. Une fois propre, je me séchais, puis remis mes vêtements.Une fois prête, le chef s’approcha et me dit :- Comme tu as été une bonne baiseuse bien docile, Miguel va te raccompagner jusqu'à chez toi. Les rues ne sont pas toujours sures, et tu pourrais faire de mauvaises rencontres.Sa remarque ne manquait pas de sel, après le traitement que je venais de subir. Je montais dans la voiture, après ...