1. Je me découvre coquine (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... moments intimes dans de nombreuses situations... voiture, cinéma, cabine d’essayage, porte cochère, ou simplement l’une de nos chambres, il ne m’a jamais vu « chienne » comme je le suis en cet instant. J’ai l’impression qu’une barrière en moi vient de tomber. Pour tout dire, je me demande pourquoi je ne l’ai pas fait plus tôt. Peut-être n’étais-je pas prête, mais là, tout de suite, j’en veux encore, j’en veux plus, je veux jouir. Mes yeux ont certainement fait comprendre à Max ce que mon corps tout entier appelle. Il se rapproche de moi, et vient m’embrasser. Sa queue dressée vient buter contre mon bras gauche. Je l’empoigne et la caresse. Sa main gauche vient malaxer ma poitrine. Délicieux ! A cet instant, quelque chose de parfaitement inattendu et totalement déroutant se produisit, aussi bien pour moi que pour Max. Je sens la main de Paul qui rejoint la mienne sur le sexe de Max. Devant nos deux regards interrogateurs, il l’enlève immédiatement. Max me regarde interloqué. Paul s’excuse, il semble sincèrement gêné de ce qu’il vient de se passer, et je pense qu’il a peur que tout s’arrête avant la fin. Pour ma part, cette caresse, totalement inattendue, m’a surprise autant qu’excitée. Je me rappelle les paroles de Max : — « Reste à l’écoute de ton désir ». Alors, je reprends la main de Paul sur le matelas, et la repose sur la tige, toujours tendue, mais moins fière, de Max. — « Rien n’est obligatoire, mais tout est permis Max, à toi de voir ». Après un court moment ...
    ... d’hésitation, il lance un petit regard approbateur à Paul qui entame donc de petites caresses sur son sexe. J’ai l’impression que la queue de Paul a doublé de volume en moi, il aime ce qu’il fait. Max lui, me pelote toujours pendant que Paul et moi le caressons. La main droite de Max elle se dirige vers mes fesses pour que ses doigts reprennent leurs petites visites entamées peu de temps avant. Je sens la pulpe de son index glisser sur le sexe de Paul que je fais coulisser en moi. Sensation déroutante, mais exceptionnelle. — « J’ai envie de te prendre » me dit-il. La danse de ses doigts me fait bien comprendre que ça n’est pas la place de Paul qu’il envie... — « Doucement alors ». A vrai dire, j’en meurs d’envie, mais ma peur est au diapason de mon désir. — « Ne t’en fais pas ma belle » Il se recule, se couvre et prend place derrière moi. Je vois la main de Paul qui retombe, presque déçue, sur le matelas. Je sens une agréable sensation de fraîcheur lorsque Max m’étale un peu de lubrifiant sur la petite porte, il glisse un, puis deux doigts en moi, c’est déjà très troublant. Il m’attrape la hanche droite d’une main, et avec son autre main, il positionne son gland sur mon petit œillet lubrifié. Je me penche légèrement en avant pour lui faciliter la tâche. Je le veux en moi autant que j’en ai peur. Je le sens appuyer, et écarter mes chairs petit à petit. Puis, d’un coup, comme une porte qui cède à la pression, je sens son gland en moi. Paul lui, fait de tous petits mouvements de bassin, ...