1. Je me découvre coquine (1)


    Datte: 05/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... et je m’habitue doucement à ces deux sexes en moi. Je venais juste en curieuse, et me voilà, enfermée avec deux hommes en train de me prendre en sandwich. Je n’aurais jamais pensé que cette soirée me ferait découvrir autant de facettes de moi... et elle ne fait que débuter... Je me retrouve donc prise par-devant et par-derrière, avec Max qui, doucement, pénètre au plus profond de mon arrière-train pendant que Paul doucement coulisse en moi. Chacun doit sentir la queue de l’autre contre la sienne. Cette idée m’excite, et alors que Max est maintenant totalement en moi, je sens une immense vague de plaisir monter en moi. Alternativement, ils vont et viennent, occupant chacun le volume laissé libre, chacun de son côté de la paroi. — « Oh oui... encore... oui ! » Je suis totalement haletante. Ils augmentent le rythme, je vois Paul comme Béa devant moi, alors que je sens maintenant les mains de Max sur mes hanches, les agrippant pour mieux me posséder. Ils tapent au fond de moi. La vague de plaisir devient géante. — « Encore... plus vite... en même temps » Je veux leurs deux queues au fond de moi en même temps. Je veux les sentir se glisser en moi en même temps. Coulisser contre ma fine membrane entre mon sexe et mon cul. En rythme, ils accélèrent et se synchronisent. La vague se fait tsunami. — « Oui... OUI... OUI... OUIIIII !! » Le tsunami déferle en moi. Jamais je n’ai ressenti un plaisir aussi grand. Leurs coups de boutoir m’ont envoyée directement au septième ciel. Ils ...
    ... se sont tous deux immobilisés tout au fond de moi, je pense que Paul est en train de jouir, mes spasmes enserrent leur queue, je hurle de plaisir, je crois que tout le bâtiment m’a entendue. Max glisse en moi, puis d’un grand coup de reins il reprend possession de mon cul. Encore, une fois, deux fois, trois fois. A chaque fois, il lâche un petit râle bestial. Son quatrième coup de reins est le dernier, je sens les spasmes de son éjaculation au fond de moi, ils accompagnent ceux de ma jouissance. Je m’affale sur Paul, essoufflé comme moi, Max se retire doucement et s’allonge à côté de nous. Il me fait une petite place que je puisse m’allonger entre eux. Après cette folle chevauchée, je me sens comme vide et dilatée à la fois. Un sentiment de honte monte en moi. « Mon Dieu, tu es une vraie salope de te comporter comme ça... tu te rends compte ? » Mais non, cette idée est instantanément balayée par deux choses : L’intensité de l’orgasme que j’ai eu et qui œuvre encore en moi, ainsi que Max qui se tourne vers moi en me disant : « Alors ma belle tu as aimé ? C’était un délice, merci pour ce moment » « Merci, oh oui, c’est même trop peu pour ce que tu viens de nous offrir » ajoute Paul. J’ai de la chance d’être tombée sur deux mâles respectueux qui ne voient pas en moi qu’un réceptacle de leurs envies et fantasmes. Ils ont conscience que nous avons pris du plaisir tous les trois, chacun grâce aux deux autres. « Merci les gars, je n’ai jamais joui aussi fort » « A ton service » ...