Manipulations - Histoires de Sexe

Manipulations

... est épilée. Elle coule déjà.— Voyons cela. Le médecin passa encore une main sur les fesses et les dernières phalanges de ses doigts soulevèrent la ficelle, parcoururent la raie des fesses, effleurèrent le périnée et atteignirent sa fente intime. — Oui, vous avez raison. Un index curieux, jouait juste à la naissance de son sexe. Il tournait dans les sécrétions abondantes de mon épouse. La secrétaire se déplaça et vint se mettre à côté du visage de mon épouse. Elle n’avait plus de jupe. Elle avait un porte-jarretelles noir et un string de voile de la même couleur. — Je suis tellement excitée, dit-elle en passant une main dans son string, on n’en a pas souvent des belles et dociles comme ça.— Calmez-vous Christine dit le médecin en s’approchant d’elle. Sa blouse était ouverte et ma femme vit alors qu’elle ne portait rien dessous. Elle se colla à son assistante, plaquant sa poitrine, qu’elle avait aussi très généreuse, sur celle de sa secrétaire. Vous êtes toujours pressée, savourez le désir, imaginez ce corps à votre disposition. La secrétaire se pencha et goba un sein de sa maîtresse. — Oh oui, allez-y, calmez vous sur moi. Ma femme sentit la pression du doigt sur son périnée trempé. Elle se laissait faire avec bonheur, spectatrice et objet du spectacle de ces deux complices. La secrétaire enfouissait son visage entre les seins opulents du médecin qui gémissait de plaisir. — J’ai envie de vous, Maîtresse, laissez moi vous faire jouir.— Calmez vous, nous devons soigner notre ...

... patiente, ne l’oubliez pas. Elle termina sa phrase en plantant son index dans la chatte de mon épouse. La secrétaire eut un sourire étrange. Elle saisit une paire de ciseaux posée là et se replaça derrière ma femme, qui sentit le froid de la lame sur sa peau. La fille coupa les ficelles de son string, une fois au niveau de l’anus qui se crispa à ce contact, puis à la taille. Le string tomba sur la table. La pointe du ciseau griffa sa peau, très légèrement, sur toute la raie des fesses et stoppa vers le doigt planté. — J’aime son œillet rasé, il est beau, dit-elle. Il doit être bon, qu’en pensez-vous Maîtresse !— Allez-y, goutez le, doucement. Ma femme écarta instinctivement les cuisses quand elle sentit la langue se glisser entre ses fesses. La pointe effleura brièvement l’anus. Puis elle revint à la charge. Plus fort. — Voilà, c’est bien, encore ! Par les petites touches successives de cette langue, ma femme s’envola dans un nuage de désir sauvage. — Elle s’ouvre, vous voyez, il faut être douce. Elle est habituée, elle aime ça. L’index gluant quitta sa chatte et se posa sur sa rondelle. Lentement il l’ouvrit. Doucement, il pénétra la gaine. Ma femme se redressa pour se mettre à quatre pattes; les fesses offertes à la curiosité de ce couple étrange. Elle aimait. L’index habile s’enfonça entièrement en elle. Pour le moment, le plaisir était psychologique seulement. Se sentir ainsi dominée, dans une relation triangulaire lui plaisait. Le majeur pénétra sa chatte, elle reçut un ...