Manipulations
Datte: 06/09/2019,
Catégories:
fff,
médical,
fsoumise,
fdomine,
massage,
intermast,
fgode,
fdanus,
... doigt dans chaque orifice. Une fois bien mouillé, il s’aventura entre ses reins. — C’est bon, lâcha ma femme, presque malgré elle.— Vous voyez, Christine, je vous le disais.— Oui, Maîtresse. Ma femme sentit les gros seins de la praticienne se coller contre sa hanche. Ils étaient chauds, confortables. Mais les doigts contredirent cette douceur et la sodomisèrent plus loin encore. — Lèchez moi un peu, Christine, vite ! La secrétaire docile ne se fit pas prier et vint s’agenouiller derrière sa Maîtresse et ses mains écartèrent les fesses et elle plongea son visage entre. — Oh oui, vas-y ma Salope, dit le médecin changeant soudainement de ton. Elle se cambra et monta rapidement un genou sur la table, sous le ventre de mon épouse.— J’ai aussi envie de la baiser, dit la secrétaire après quelques minutes, Maîtresse, je vous en prie ! Ma femme était maintenant parfaitement dilatée, le médecin ayant avec talent détendu ses sphincters. Elle se laissait aller, apprécier la fouille en règle de sa gaine. — Calmons-nous, dit soudain la Maîtresse. Elle retira ses doigts des fesses de ma femme et repoussa la secrétaire, dont le menton brillait du jus de son amante. Le médecin obligea mon épouse à se retourner sur l’étroite table. — Fais voir ta chatte, dit-elle, en écartant les cuisses sans ménagement. Un regard sévère parcouru son sexe béant et dégoulinant. La secrétaire vint regarder et soudain, elle attrapa les tétons gonflés de ma femme et les pinça avec force. Ma femme eut un sursaut ...
... de plaisir et gémit sans retenue sous cette violence. Elle voulu se caresser car son désir devenait plus fort que tout. Mais le médecin retint sa main. Ses grands yeux bleus plongèrent dans les siens. — Vous êtes excitée, n’est ce pas, vous avez envie de jouir. Attendez-nous n’avons pas encore visitée tout votre corps. Laissez moi faire. C’est moi qui commande. Avec force, elle la poussa sur la table, vers le haut, et la tête de mon épouse se retrouva dans le vide, ses longs cheveux pendant vers le sol, le touchant presque. La secrétaire vint chevaucher son visage et ma femme se retrouva le visage enfoui entre les cuisses de cette femelle en chaleur. — Oui, Christine, allez-y, vous l’avez bien mérité.— Allez, lèche moi la chatte, salope, dit alors la secrétaire en plaquant son sexe contre le visage de mon épouse. Elle bavait littéralement, et ma femme trouva le sexe complètement ouvert, les sécrétions en tapissaient l’entrée. Elle se mit à lécher, à laper ses lèvres épaisses et poilues, déclenchant chez Christine des grognements de bonheur. Elle lui tenait la tête et balançait son bassin pour mieux sentir la langue dans sa chatte. Cet exercice dura plusieurs minutes. Parfois ma femme croyait qu’elle jouissait mais elle restait en fait toujours aussi excitée. — Ça suffit, maintenant, Christine, dit le médecin en passant son bras autour des épaules de l’assistante, vous allez l’asphyxier. Ma femme déçue, vit le sexe reculer. Tout le bas de son visage était maculé des sécrétions ...