1. Les seins de Tante Karine


    Datte: 06/09/2019, Catégories: h, fh, fplusag, oncletante, grosseins, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral pénétratio, fsodo, init,

    A Noël, toute la famille se réunissait à la maison de mes parents pour la soirée. J’avais dix-huit ans et, comme tout bon adolescent, je me masturbais deux à trois fois par jour. Mes attouchements étaient dédiés aux filles de revues, à ma voisine… mais ce 24 décembre je les dédiais tous à ma tante Karine. Je me souviens parfaitement. Aux environs de midi, j’étais dans ma chambre, jouant aux jeux vidéo. Déjà, je souffrais de penser que j’aurai à passer Noël avec mes proches. Mes cousins ,qui ont mon âge, ne venaient pas cette année ; ils allaient chez leur père. Mais leur mère venait avec sa fille de 8 ans et sa sœur, agée de 20 ans, la tante Karine. — Venez dire bonjour ! avait crié ma mère. Et je descendais de mauvaise humeur au salon. En premier, je vis ma vieille tante qui me salua avec un baiser qui me fit presque frissonner l’échine, une de ses habitudes dégoûtantes. Puis ce fut ma cousine Marie qui me salua avec un ’bonjour’ timide et s’en alla en courant. Enfin je vis Karine…. Waouh… Je ne l’avais pas vu depuis quelques années. Comme elle était splendide ! Ma tante était une bombe de sexe, brune aux yeux bleus, des lèvres épaisses, de celles créées pour une bonne pipe. Elle est grande, avec un corps ferme, un cul à tomber par terre, rond, grand et dur. Ce jour là, elle portait un débardeur blanc qui laissait entrevoir sa taille fine. Et le mieux, ses seins étaient énormes. Je ne me souvenais pas qu’ils étaient si gros, ils paraissaient bondir hors de ses vêtements. — ...
    ... Bonjour mon neveu !- me dit-elle en me donnant un baiser qui fit flageoler mon corps. Comme je suis plus petit qu’elle, elle s’inclina me dévoilant ainsi son décolleté. Je suis aussitôt retourné dans ma chambre, la verge en érection, et sans y penser deux fois, je me suis masturbé, finissant abondamment en moins d’une minute. Ainsi apaisé, je descendis manger avec la famille. Le soir, d’autres oncles ainsi que mes grands-parents arrivèrent. Ma jeune cousine était tranquille et ne me dérangeait pas. Quant à Tante Karine, je n’arrêtais pas de la reluquer. Mais elle me regardait souvent, et mon sourire de circonstance ne pouvait dissimuler le fait que je commençais à rougir. A table, ils discutèrent de tout et de rien. J’appris que Tante Karine avait rompu trois mois plus tôt. Cette relation avait duré trois ans. Cette année, et pour la première fois depuis bien longtemps, elle avait préféré venir ici en famille au lieu de sortir avec ses amies. Je n’avais pas le courage d’être à côté de ma tante et je l’esquivais ainsi toute la soirée. Pire, je l’espionnais depuis la fenêtre ou l’escalier. Elle était sortie avec mes parents dans le parc situé derrière la maison. Caché derrière la fenêtre, je la regardais pendant que je soulevais ma verge dans mon pantalon. Ses seins me rendaient fous. Je me rendis compte qu’ils ne laissaient pas non plus mon père indifférent. Il n’arrêtait pas de les regarder. De ma chambre, j’entendis mon vieux commençer à faire l’abruti, comme chaque nuit de ...
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