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Les seins de Tante Karine
Datte: 06/09/2019, Catégories: h, fh, fplusag, oncletante, grosseins, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, facial, Oral pénétratio, fsodo, init,
... Noël. Afin de rompre mon ennui, je descendis . Je ne pus éviter Tante Karine qui vint me parler. — Tu es enfin sorti de ta chambre. Qu’y a-t-il de si intéressant ? me demanda-t-elle en riant tandis qu’elle frottait sa main sur ma tête, éparpillant mes cheveux.— Rien … rien d’intéressant. Dis-je timidement, essayant de ne pas regarder sa poitrine.— Tu as grandi mais tu reste un très gentil neveu, me dit-elle me faisant rougir de honte. Je m’accoutumais d’être aux côtés d’une femme aussi magnifique. Elle me demanda comment allait l’école, comment étaient mes amis… Je la questionnais sur son petit ami et elle me dit : — Je n’aurai pas dû lui accorder tant d’importance. Mais toi, tu as une copine ?— Non…non… je n’ai pas de copine. Je n’osais lui avouer que je n’avais même pas encore embrassé une fille. Tante Karine rit et nous continuâmes à parler de films, de télé. Ce fut un moment très agréable… Elle me donnait des conseils, me dit de ne pas passer autant de temps avec ma famille et mes amis… Il était presque minuit. Je m’étais changé avec mes meilleurs habits, un jean bleu et une chemise noire. Ma cousine portait un ensemble rouge. Puis arriva tante Karine… Mon dieu…Je suis resté bouche bée à la contempler. Elle avait attaché ses longs cheveux bruns. Elle portait des bottes de cuir noir à talons. Sa jupe marron laissait voir toutes ses jambes quand elle marchait. Elles me semblaient interminables. Mon père et moi profitions de la vue. Mai l’apogée était la chemise blanche ...
... ajustée au corps qui faisait ressortir incroyablement ses seins. De plus, les quelques boutons ouverts en hauts laissaient voir un grand sillon qui me laissait bêta à le regarder — Joyeux Noël!… me dit Tante Karine en m’enlaçant aux douze coups de minuit. Les autres me saluèrent à leur tour. Nous trinquions avec du champagne. Nous tirâmes des feux d’artifice et nous restâmes tous dehors dans le parc, fêtant et mangeant comme il se doit. — Tiens, bois ! me dit Tante Karine en m’offrant une coupe de champagne. Nous en bûmes quatre ensemble et elle commençait à rire bêtement. Vers deux heures du matin, mes oncles s’éloignèrent. Je me souviens du sourire de Karine à ce moment là. Je bus aussi du vin et de la liqueur… chose qui m’a rendu à moitié saoul. Je riais de n’importe quoi. Il devait être trois heures du matin lorsque mes parents et mes oncles allèrent prendre un café à la cuisine. Tante Karine me dit alors : — Je vais m’asseoir. Je suis un peu bourrée ! Elle me donna un baiser sur la joue, près de mes lèvres et s’en alla en titubant. Mes parents et mes oncles partirent dormir un moment et je restais seul. Prenant une bouteille de champagne à moitié remplie, je partis regarder la télé au salon. Je me suis assis sur un fauteuil pendant je buvais dans une coupe. Rien à la télé : films de Jésus, de papa Noël et fêtes dans d’autres pays. — Tu me donnes une coupe, neveu ? Je la sentis derrière mon dos. C’était tante Karine. Elle s’assit à mes côtés pendant que je la servais ...