1. Service personnalisé


    Datte: 07/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... s’enfonce en moi. Malgré la largeur de sa verge, je n’ai pas mal, je voudrais qu’il m’empale. Je tente de reculer mon bassin pour le sentir en entier en moi mais il me maintient fermement par les hanches. Il attise ma convoitise en se retirant totalement alors qu’il ne m’a pas encore totalement possédé. Il s’amuse de ma frustration et masse mon œillet avec son gland sans pour autant se décider à m’embrocher alors que je n’attends que ça ! Enfin, il se décide et lentement, je sens son chibre écarter mes muqueuses puis petit à petit, il entame les mouvements de va et vient dans un rythme toujours maîtrisé. Sous moi, mon sexe se balance à la cadence qu’il m’impose. Je tente de contracter mes muscles pour augmenter son plaisir mais je suis dans un tel état d’excitation que je n’y arrive pas. J’ai peur de jouir trop rapidement. Heureusement, mon portable se met à sonner. J’envisage la possibilité de répondre et m’y refuse, c’est trop bon, je m’abandonne à son habileté d’autant qu’il n’interrompt pas son labour. Le rythme s’accélère, ses cuisses viennent claquer contre mes fesses, ses mains impriment leur marque sur mes hanches. Je suis enfin possédé. Mon souffle est court, je flageole, la jouissance est proche, je ne vais pas pouvoir durer plus longtemps ! Il s’arrête, et vient me lécher le dos, depuis les reins jusqu’aux épaules. Son souffle sur ma peau me donne la chair de poule et fait naître des frissons. Le moment est exquis. Il me titille de nouveau le fondement avec ses ...
    ... doigts, ses caresses sont expertes. Serait-il tenté par un fist ? Ce pourrait être le genre de mec à le faire mais moi, non ! Pour autant l’idée augmente, si cela est encore possible, mon état d’excitation. Il replace ses mains sur mes hanches et de nouveau présente ses fesses sur mon fondement qui n’offre plus aucune résistance, il peut me besogner et n’hésite pas à le faire. Le plaisir me submerge et j’inonde le dessus de lit de mon sperme. Mes fesses se contracte autour de son sexe, le comprime. Je sais qu’il éjacule. Je m’écroule et sens mon ventre se mouiller de ma semence. Il se cale dans mon dos et je perçois avec ravissement son souffle chaud dans mon cou. Mon téléphone sonne à nouveau, je m’en contrefiche, je suis bien, assouvi, blotti dans des bras faits pour aimer. Je n’ai pas conscience du temps qui s’écoule même si mon portable sonne encore à deux reprises. Je me décide enfin à m’échapper à son étreinte virile et me résigne : - « Il faut que je me douche ! » - « Je t’accompagne. » - « Ce serait avec plaisir et je suis déjà en retard. Je dois assurer l’accueil d’un groupe. » - « A ton aise. » Je me douche rapidement, m’habille, me rend présentable et tente de me redonner une certaine contenance. Je réalise que je ne lui ai même pas donné mon prénom ! - « Moi, c’est ... » Je lui donne mon prénom. - « Charles, ravi ! » - « Egalement ravi, c’était plus que génial mais il faut vraiment que je t’abandonne. » - « OK, pas de problème. » Je sors de la chambre, m’engouffre ...
«12...4567»