1. Un chien qui s'ignore 18


    Datte: 07/09/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    Maitresse Nolwenn me ramenait à la maison, ou plutôt chez ma maitresse femme.Comme promis elle m’avait emmené tout le weekend et devait me retourner à ma niche. Avec tout ce que j’avais subi, ces deux jours m’avaient paru interminables. J’étais épuisé, repoussant de saleté et recouvert de sperme séché. Sans oublier ma fesse marquée à vie, comme les esclaves jadis.Mon statut de chien dégénéré était maintenant marqué dans ma chair ! Maitresse Nolwenn repoussait toujours les limites de ma déchéance. J’avais honte de subir tous ces hommes. Mais j’étais fier aussi de satisfaire les fantasmes de ma maitresse. C’est comme si elle me donnait des taches à accomplir et bien que réticent au départ, je prenais plaisir à voir son regard sur le chien qu’elle avait modelé. J’étais étrangement fier du plaisir qu’elle prenait à me voir souffrir et à m’humilier.J’étais soulagé toutefois de rentrer pour retrouver, je l’avoue, ma nourriture et mon tapis. La boite de plexiglas m’angoissait par contre complètement. Mais maitresse Nolwenn avait dit à ma maitresse que j’étais éduqué et soumis, que la boite n’était là que pour m’apprendre à obéir. Je ferai en tout cas toutes leurs volontés pour les satisfaire et ne plus retourner dans ce caisson étanche.Un mauvais pressentiment m’alerta quand, la nuit tombée, en descendant douloureusement du fourgon, je vis plusieurs voitures garées devant la maison, ainsi qu’une grosse moto routière. J’étais harassé et affamé. Excepté des litres et des litres de ...
    ... sperme, je n’avais pratiquement rien mangé ni bu ces deux jours.La porte s’ouvrit et des rires exclusivement féminins retentissaient. Trop nombreux à mon goût ! Instinctivement je m’immobilisais.Nolwenn me tirait par la laisse et me lança un coup de bottes dans les côtes. Elle était elle aussi fatiguée et son humeur devait être massacrante. J’avais hâte qu’elle me laisse à ma maitresse femme et regagne son domicile. J’avais beau vénérer ce corps aux courbes inaccessibles, je ne rêvais que d’un endroit calme ou je pourrai me reposer.Hélas pour le calme, l’ambiance était plutôt à la fête…La table de salon qui me rappelait désormais un très mauvais souvenir (lire épisode 1) était couverte de bouteilles vides et de verres, de cendriers pleins. Ma superbe maitresse Laurence était assise là, jambes croisées. Elle riait. Je l’admirais, osant lever mon regard vers elle, parée d’une robe cintrée hypnotique. A sa droite, je fus stupéfait de reconnaitre ma belle sœur, la sœur de ma maitresse femme. Elle me regardait d’un regard remplis de satisfaction, affalée sur le canapé, moulée dans un pantalon de cuir épais de motard qui lui remontait jusqu’à la taille. Un teeshirt blanc moulait sa poitrine énorme. Je frémis et bêtement baissais mon regard, regardant le sol entre mes pattes avant.Ma belle sœur ne m’a jamais apprécié et cela faisait des années que je ne l’avais pas vue. Elle me haïssait et ne comprenait pas pourquoi ma femme restait avec une ordure comme moi, qui l’avait rendue cocue à ...
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