1. Un chien qui s'ignore 18


    Datte: 07/09/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme

    ... tour de bras. Je sais qu’elle poussait depuis des années ma femme au divorce.Elle avait beau être la sœur de ma femme, rien physiquement ne les rapprochait. Ses traits grossiers avec son nez écrasé, son physique de catcheuse, sa démarche de camionneur et sa voix forte et vulgaire me dégoutaient. Elle avait manifestement pris du poids depuis notre dernière entrevue. Elle devait approcher de la soixantaine. Divorcée depuis des années, on ne l’avait jamais vu avec un homme. Il faut dire qu’elle ne faisait rien pour les attirer.Sa haine datait du temps où j’étais très récemment marié avec sa sœur. Elle était mariée depuis quelques années à l’époque et avait un bébé qu’elle allaitait. Elle larguera rapidement son mari et ne s’intéressera plus qu’aux femmes par la suite.Bref à cette époque, ses seins étaient gros et lourds et attiraient mon regard. Ses courbes étaient devenues généreuses. Comme souvent, je n’avais pas réfléchi. Nous nous étions croisés dans le couloir à l’étage, seuls, chez les beaux parents après un repas de famille un peu trop arrosé. Elle venait de nourrir son bébé et ses seins pointaient à travers son soutien gorge, elle reboutonnait son chemisier. J’avais fait demi-tour et m’étais précipité derrière elle. J’avais agrippé ses mamelons démentiels et m’étais frotté contre son dos... Ses seins énormes ne tenaient pas dans mes mains. Je l’avais plaqué contre le mur, la tournant face à moi. Ma queue déjà raide, je m’étais baissé pour embrasser ses seins veinés et ...
    ... gonflés, excité comme un cerf en rut. Dans une détente qui me surprit, elle m’avait envoyé un coup de pied sur le tibia et avait profité de ma douleur pour me repousser et m’envoyer un mémorable coup de pied dans les couilles. S’en était suivie, une gifle qui m’avait envoyé au sol, puis un dernier coup dans le ventre. Roulé en boule de douleur, j’avais reçu un crachat. Ma femme et mon beau frère n’en avaient jamais rien su. Je gardais cette scène de honte et d’humiliation pour moi. J’appris par la suite qu’elle était adepte de self défense…Un coup de bottes de maitresse Nolwenn me rappela au présent.‘ Rex, qu’est ce que tu attends pour rendre hommage à ses superbes femmes. Allé, bouges tes couilles de plomb !’Je me dépêchais dans un cliquetis de mes moufles et genouillères ferrées de venir lécher les escarpins de maitresse Laurence, chaussée de merveilleux et vertigineux nus pieds à double bride. Ses chevilles gainées de bas couleur chair brillaient. Ses orteils aux ongles vernissés eurent droit à toute l’attention de ma langue servile. Elle se plaisait à relever ses pieds de manière à m’inciter à nettoyer ses semelles souillées. Aucune de ces femmes ne faisaient attention à moi. La discussion était animée. Maitresse Nolwenn s’était jointe à elles.D’un coup de pied dans le nez, maitresse Laurence me signifiait qu’elle en avait assez et que je devais m’occuper des pieds suivants.Les pieds ou plutôt les bottes suivantes étaient celles de ma belle sœur…J’imaginais qu’elle devait ...