Karl
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhhh,
hplusag,
jeunes,
inconnu,
freresoeur,
campagne,
parking,
boitenuit,
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amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
ecriv_f,
... découvre mon sexe presque rasé. Une infime tension de la pointe de sa langue sur l’extrémité de mon clitoris m’arrache presque un cri. C’est sa langue entière qui commence à me libérer, quand elle écarte doucement mes lèvres humides pour se frayer un chemin. Je n’ai jamais autant désiré un gros sexe en moi qu’à cette seconde-là. Sa caresse buccale s’éternise et, reconnaissant ma défaite, je le supplie en gémissant de me pénétrer. Il m’allonge alors avec finesse sur le foin sec, libère enfin ma poitrine, qu’il ne peut s’empêcher de prendre à pleine main. Je sens mes seins pleins et durs sous la caresse et souhaite presque qu’il les prenne plus fort. Le foin sec picote mon dos, mêlant une légère meurtrissure à un plaisir immense. Il ouvre mes jambes en grand. Je passe mes deux mains sous mes cuisses, pour garder ma position et libérer les siennes. J’ai cru enfin qu’il allait m’honorer, mais il commence à jouer avec ma grotte d’amour, en frottant son gland. — Que me disais-tu ?— Karl, je t’en supplie ! Viens en moi, prends-moi, j’ai besoin de toi !— Tu es un amour… Il dépose un baiser sur mon ventre, sur mes lèvres et me pénètre. — Je t’aime. Jouant de sa belle longueur, il entre puis ressort plusieurs fois, pour savourer son triomphe. Enfin, il se fait plus autoritaire, se cale bien entre mes cuisses et accélère le mouvement. Mon ventre entier a besoin de lui et il commence à me limer plus en profondeur. Chaque coup de reins m’arrache un long gémissement de plaisir. Enfin, ...
... sa rudesse de corps se traduit par une pénétration. Il se redresse et m’accompagne pour me faire asseoir sur lui. Nous pouvons, dans cette position, nous voir, les yeux dans les yeux, pendant qu’il me fait l’amour. Puis je laisse ses mains et sa bouche jouer avec mes seins qui ballottent sous ses coups de boutoir. Un long torrent de chaleur part du bas de mes reins, mes deux mains passent sous mes fesses, pour accompagner mon mouvement de bascule, le plus fort possible. Il va à fond en moi et nous soudons nos deux ventres, meurtris par le plaisir. Chaque mouvement dans mon ventre est plaisir et supplice de femme comblée. Quand il voit qu’il va à nouveau jouir, il m’interroge du regard. Oh oui ! Je veux qu’il jouisse dans mon ventre, comme mon homme, comme mon amour, et pas comme un de mes clients, dans du plastique. Les yeux dans les yeux, nous partons ensemble au septième ciel, mêlant nos cris, nos plaisirs et nos gémissements. Il inonde mon ventre dans un long baiser sucré. Je le bloque pour ne pas qu’il se retire trop vite, pour que sa semence coule dans et hors de mon sexe, le long de mes cuisses, comme pour marquer qu’elle y est la bienvenue, comme une eau de vie bienfaitrice et salutaire. Je sais, dans cette seconde de plaisir infini, qu’il n’y aura plus de contrats de Madame Saint-Jean, ni de Rachel dans mon lit, tant que je serai à ses côtés et dans son cœur. Je suis tombée amoureuse. Nous restons étendus l’un sur l’autre pendant de longues minutes. Aucun des deux ne ...