Karl
Datte: 05/09/2017,
Catégories:
fh,
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Masturbation
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Oral
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Partouze / Groupe
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... incroyable, comme si tout son corps n’était qu’un arc, tendu à rompre. Il danse merveilleusement bien et garde un espace juste suffisant entre son corps et le mien pour éviter tout contact trop direct. Je me laisse bercer par cette musique envoûtante et méconnue. — Et vous ? Qu’est-ce qui vous amène par ici ?— Je suis propriétaire d’un ranch, à une dizaine de kilomètres d’ici. Nous élevons du bétail à viande et des taureaux pour la reproduction.— Je fais donc la connaissance de mon authentique premier cow-boy américain !— Karl, pour vous servir. J’ai été cow-boy pendant une vingtaine d’années. J’ai aujourd’hui ma propre propriété, qui marche bien. Vous avez donc un cow-boy sur le tard, qui s’approche lentement mais sûrement de la cinquantaine. La première chanson se termine et une chanteuse est entrée en scène. Elle entame un slow plus langoureux. Je jette un œil sur Rachel, qui semble avoir entamé un corps à corps beaucoup plus rapproché à l’entame de ce deuxième acte. Je décide de garder mon cow-boy. Ses deux mains rejoignent maintenant mes hanches, la lumière est baissée d’un cran et la scène envahie. Les couples se forment et j’ose poser mes deux mains sur ses solides épaules. Nos corps se rapprochent, se frôlent et je sens le contact glacé de la boucle de son imposant ceinturon contre mon ventre. Son corps n’est qu’un seul et même bloc contre lequel je me love par petits contacts. Mes seins, tendus sous ma chemise, ont frôlé son buste et, lentement, ils se dressent ...
... malgré moi. Mes jambes sont un peu plus flageolantes quand arrive à mes narines une odeur d’homme, musquée, mais pas déplaisante. Je pose doucement ma tête, fragile, dans le creux de son épaule. Je suis comme un petit oiseau enfermé dans une grande main, qu’une simple pression pourrait écraser. Je surprends les deux mains du cavalier de Rachel qui descendent sur ses fesses quand elle lui fait un suçon dans le cou. Je flotte doucement sur la piste, conduite par ses bras puissants et nous n’échangeons plus un mot. L’espace d’un instant, nos regards se croisent, intenses, aucun de nous deux n’a cillé. Il se dégage une incroyable intensité de ce regard à la fois charismatique et déterminé. J’aime ce regard, instantanément. Monsieur Karl, vous ne manquez pas d’un certain charme… La chanson tire vers la fin, la musique joue ses dernières notes. Il a exercé une pression infime sur mes hanches fines et fait entrer en contact mon ventre plat et tendu avec le sien. Je ressens un petit picotement dans le bas-ventre. La fin de la chanson vient briser cet instant magique. — Puis-je vous raccompagner à votre table et vous offrir un verre ? Il faut que vous goûtiez la vraie bière américaine, et pas du poison pour routard ! Je suis sous le charme, à la fois simple et attentionné, de mon cavalier et décide d’accepter son invitation. Nous rejoignons ma table et nous installons pour commander. Un contact infime de sa main dans mon dos m’a invitée à passer devant lui au sortir de la piste de danse. ...