Christine III : Les brûlures de l'aube (1)
Datte: 07/09/2019,
Catégories:
Hétéro
... nuit. Elle lui avait néanmoins pardonné. Elle avait cependant des doutes et ceux-ci s’étaient confirmés en avril 2004 : comme dans les films, elle l’avait surprise dans leur lit avec une blonde. Fin de l’histoire. Depuis, Christine n’a plus confiance et multiplie les histoires sans lendemain. Elle a eu une vingtaine d’amants depuis un an et parmi ceux-ci, elle a établi une relation assez régulière avec l’un d’eux, David. — Ma relation avec Hector m’a ouvert les yeux sur celle que nous avons eue. Tu as été honnête et ta franchise m’avait déplue à l’époque. Mais tu avais raison. Hector m’a tellement faite souffrir. Si j’avais accepté ta proposition, j’aurais aussi pu avoir d’autres amants pendant un temps et peut-être qu’aujourd’hui, nous serions ici avec nos enfants. — C’est possible. On ne sait pas ce qu’il se serait passé. J’ai toujours eu beaucoup d’affection pour toi. Peut-être que nous aurions fait des enfants, oui. — J’ai toujours pensé à toi. Il y a quelque chose de spécial dans notre relation, on a vécu que des choses biens ensemble. Et pourtant, au début, on ne peut pas dire que je t’intéressais. Christine rit et fait un clin d’œil. Je conteste : — Parce que toi… Elle me coupe : — Je te l’ai déjà dit, j’ai craqué dès le premier jour de cours ! J’étais aux anges quand le prof nous a désigné pour ce travail. — De mon côté, c’est durant notre travail que tu m’as fait fondre. Avec ton petit ensemble Vichy. Christine éclate de rire : — Oh la la ! Tu te souviens de ça ? Il ...
... était joli… pour l’époque ! C’est vrai qu’on a vécu des bons moments tous les deux. Tu m’as fait faire des folies. — Moi ? Ah bon ? Comment ça ? Le ton est exagérément provocateur. Christine n’est pas dupe : — Les cochonneries dans la nature, le porte-jarretelles, la fellation, le rasage de mon minou, la semi-pénétration, la position à quatre pattes, la sodomie… Hé, je te rappelle que tu as quand même failli me sodomiser alors que j’étais encore vierge ! — Ah oui, c’est vrai. Mais tu étais tout à fait consentante ! — Et puis tu m’as aussi mis le doigt dans le cul au milieu d’un bar ! — Oh ! Là aussi, tu étais consentante. — Probablement le moment le plus gênant et le plus excitant de ma vie. — Cette liste, ce n’est pas des folies, c’est juste des premières fois. — Personne ne m’a remis un doigt dans le cul dans un bar. Nous éclatons de rire et j’avoue que c’était une folie. Mais j’insiste : — Ok, mais pour le reste ? Des cochonneries dans la nature, tu l’as refait, non ? — Oui, c’est vrai. — Le porte-jarretelles ? Tu en as remis ? — Avec Hubert, oui. Il aimait beaucoup. Depuis, pas souvent. — Les fellations, il n’y a pas besoin d’en parler, le rasage de ton minou non plus. Mais la semi-pénétration, je reconnais que ça aussi, c’était une folie, mais elle était de toi ! Christine rit : — Ah, oui, c’est vrai. Mais c’est parce que je voulais absolument que ça soit toi le premier. Je l’embrasse tendrement. Christine pose sa main sur mon sexe et me caresse doucement. Je commence à ...