1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l'épouse hypersexuelle (41) : l'hypersexualité selon Olga. 1ère PARTIE : CE QU'EST L'HYPERSEXUALITE ET CE QU'ELLE N'EST PAS.


    Datte: 08/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... assumée, avec le soutien et les encouragements de mon mari, mais aussi à partir du moment où nous sommes convenus que la «pratique» se ferait dans un cadre précis, « maîtrisé », en évitant de nous mettre en danger, comme cela avait été le cas pendant la « période Rachid » Ma première conclusion est que l'hypersexualité est nécessaire à mon équilibre personnel. A chaque fois que j'ai, avec volonté et sincérité, essayé de la réprimer, je me suis sentie frustrée et malheureuse. Ce fût le cas à deux périodes : - A partir du moment où j'ai rencontré Philippe en 2000 et jusqu'au moment où ma route a croisé celle de Rachid en juillet 2007, je m'étais résolue à être fidèle et à devenir une compagne, puis une épouse « normale ». Ce fût d'autant plus dur que Philippe, parce qu'il est candauliste et parce qu'il était convaincu que ma nature l'exigeait, a tout fait pour me faire assumer mon hypersexualité. Je lui en ai beaucoup voulu à cette époque mais, avec le recul, je sais aujourd'hui qu'il avait raison, que je luttais en vain contre ma nature ! - Il y eut aussi cette période où j'étais la maitresse, puis l'épouse d'Hassan, près de trois ans jusque 2012, et où, en plus j'étais « polyamoureuse », d'Hassan et de Philippe. J'ai fini par choisir Philippe, la liberté, son candaulisme et une hypersexualité maîtrisée, en principe tout au moins, car il y a eu des dérapages, le plus grave ayant la liaison avec Nikos, en 2016-2017. Cette période m'a fait comprendre que l'hypersexuelle ne ...
    ... peut se contenter d'un seul partenaire, fut-il un amant exceptionnel comme l'était Hassan, pas plus que l'amour profond, fusionnel, que j'ai pour Philippe ne me permet pourtant de me réserver à lui. TU ES UNE NYMPHOMANE ! Pendant des siècles et jusqu'à tout récemment, les femmes qui avaient une sexualité active et une libido élevée étaient affublées de l'étiquette infamante de «nymphomane». Je ne me souviens plus du nombre de fois où je me suis faite traiter de nympho. La première fois, je pense fût au lycée, où après mes frasques, le proviseur avait convoqué mes parents et leur avait dit : « Monsieur et Madame A. je vous ai convoqués pour vous parler du comportement de votre fille au lycée et en dehors. Cette jeune fille est folle de son corps, c'est une nymphomane. Il faut absolument la faire soigner. Ce n'est plus possible ! C'est mon dernier avertissement avant que je ne me vois contraint de la renvoyer, malgré ses brillants résultats.» Et pourtant cette fois-là, cela n'eut pas de conséquences. Mon père se contenta de me réprimander. Cela fut surtout l?occasion d'une vive dispute entre lui et ma mère, celle-ci lui reprochant sa tolérance vis-à-vis de mon comportement et de mes tenues. - Tu es irresponsable ! Regarde comment elle s'habille et se comporte. Ta fille est devenue une petite putain ! - Je t'interdis de parler comme ça de mon Olga. Olga fera et fait déjà tourner la tête des hommes. Ils seront à ses pieds. Je suis fier qu'elle soit si belle. Olga est une perle, une ...
«1234...7»