Une mégère apprivoisable
Datte: 10/09/2019,
Catégories:
fh,
handicap,
amour,
dispute,
Oral
préservati,
pénétratio,
amourcach,
... l’effleure lentement, l’accompagne de tout son long, s’attarde sur le gland joufflu. — Tu es beau, me dit-elle, je n’ai jamais vu une si belle bite, elle est longue et harmonieuse. Elle me donne l’eau à la bouche. Et pas qu’à la bouche d’ailleurs. Humm, si tu savais comme tu m’excites ! Elle me branle doucement, ses gestes sont amples et précis. Elle me masturbe comme ça un long moment avec tendresse. — Viens, prends-moi… demande-t-elle enfin, au bout d’un long moment. Elle dégrafe sa jupe, elle n’a pas de culotte, une épaisse toison fournie recouvre sa vulve. Elle s’allonge sur le divan tandis que je me déshabille. — J’en ai acheté, tout à l’heure à la pharmacie, me dit-elle en désignant son sac à main. C’est donc prémédité ! Le temps pour moi d’enfiler un préservatif, je viens sur elle et lui écarte doucement les cuisses. Puis je frotte mon gland longuement sur sa vulve nacrée, déjà luisante de son envie. Sa forêt est luxuriante, excitante en diable. C’est une brune de chez brune, ses poils sont d’un noir brillant d’une pureté absolue. — Oh Ludo, tu m’excites trop, j’ai trop envie de toi, baise-moi fort, gémit-elle en caressant ses seins. Allez, viens, viens vite, je veux sentir ta queue en moi. Je m’enfonce en elle, dans sa grotte, elle n’est pas très humide, j’apprendrai par la suite que certaines femmes handicapées ont du mal à lubrifier et c’est un peu son cas. Du coup je me pose quelques questions : « A-t-elle vraiment envie de moi ? » Mais elle m’attire franchement à ...
... elle, me fait comprendre que ce n’est vraiment pas grave, qu’elle a envie, qu’elle se sent bien. — Vas-y, défonce-moi, j’aime ça. Elle se pétrit les seins, elle me regarde avec des yeux embués d’amour. Elle me donne vraiment envie d’elle, je me penche sur elle pour l’embrasser, pour la caresser, puis je reprends mes va-et-vient et lui arrache quelques gémissements. Est-ce qu’elle triche, est-ce qu’elle ne triche pas, je ne sais jamais trop avec les femmes. J’aimerais tellement lui donner un maximum de plaisir. Elle me dit alors : — Arrête, allons sur le lit, dans ma chambre, on sera plus à l’aise. Je la prends dans mes bras et l’emmène jusqu’à sa chambre, nous nous faisons des bisous pendant tout le trajet. — Prends-moi sur le côté, par derrière. J’apprendrai par la suite que c’est sa position favorite, celle où elle jouit le plus. J’ai encore tant de choses à apprendre sur elle, tant de choses à découvrir, tant de moments à ressentir. Je lui fais l’amour sans retenue dans cette position. Je lui touche la poitrine, je lui caresse le clitoris. Soudain, je la sens venir, tous ses muscles qui se crispent, quelque chose qui s’empare d’elle, cette fois-ci, pas de doute, elle vient de jouir, ce qui déclenche dans la foulée ma propre jouissance. Elle me tient la main contre sa poitrine, apparemment elle est heureuse et satisfaite. — C’était vraiment très bon… j’espère que l’on va recommencer très souvent. Le plus souvent possible. J’aime que tu me fasses l’amour. J’en rêvais depuis ...