1. Une mégère apprivoisable


    Datte: 10/09/2019, Catégories: fh, handicap, amour, dispute, Oral préservati, pénétratio, amourcach,

    ... maison, Jessica se montre tout d’un coup très bavarde. Elle a envie de me raconter plein de choses, son enfance avec sa grand-mère, le fait qu’elle a très peu connu son père, le grand mystère qui entoure la naissance de sa sœur ; ce secret sa mère l’a emporté dans sa tombe. Et puis plein de petits détails qui l’ont touchée et qui sont, pour la plupart, antérieurs à son accident. — C’est vrai, Colette a raison, depuis que je suis infirme, j’ai fait tout mon possible pour perdre tous mes amis. Ceux qui ne s’étaient pas détachés de moi à cause de mon handicap, j’ai fait tout ce que je pouvais pour les décourager. Et maintenant je suis seule et je me raccroche à toi comme une sangsue parce que tu es mon seul espoir. Et tu vas en avoir ras le bol et me trouver collante. Tu vois comme je suis nouille.— Non, tu n’es pas nouille, tu es simplement malheureuse, un peu désespérée. Mais prends les choses du bon côté, aujourd’hui tu t’es fait de nouveaux amis. Encore quelques jours comme ça et tu connaîtras presque trop de monde.— Des amis, c’est pas mal, mais moi je cherche surtout l’amour, l’amour avec un grand A, mais aussi l’amour physique. Au fait, quand est-ce que tu me baises ?— Jessica !— Il y a plein de gens qui font l’amour comme ça, juste pour se donner un peu de plaisir. Alors, pourquoi pas nous ? À cause de ton anglaise ? Je ne suis pas jalouse… Moi je me suis touchée, cette nuit, juste en pensant à toi.— Mais tu étais ivre morte.— Oh non, tout ce qu’il y a de plus ...
    ... lucide. J’avais envie que tu me caresses, je rêvais d’avoir tes mains partout sur moi. J’avais envie que tu me baises, que tu me baises très, très fort. Alors qu’est-ce que tu penses de tout ça ?— Je pense que ce n’est pas très raisonnable.— Pourquoi ? Caresse-moi, j’en ai envie de toi. Elle prend alors ma main, la glisse sous son caraco et la pose délicatement sur sa poitrine. Ses seins sont chauds et veloutés. Mes doigts glissent lentement sur ses courbes délicieuses, s’insinuent dans son soutien-gorge. Elle enlève bientôt son top et retire son balconnet. Elle se retrouve torse nu, épanouie dans le salon. Son visage est radieux et exprime la malice. Mes mains parcourent ses globes laiteux qui sont d’une beauté à faire pâlir. Mais elle en veut beaucoup plus, elle veut que je les presse. Elle me le fait comprendre en posant ses mains sur les miennes, en appuyant très fort. Si l’envie d’arrêter là survenait, ce serait trop tard pour reculer, nous sommes déjà beaucoup trop loin, d’autant plus que Jessica pose maintenant ses doigts entre mes cuisses, qu’elle touche mon sexe déjà dressé. La proéminence de mon envie est gage pour elle d’un désir immense. Elle en semble satisfaite, elle joue avec ma colonne qui glisse entre ses doigts. — Humm, je te fais de l’effet, apparemment… Si tu me montrais cette jolie queue. Je dégrafe ma braguette et sors ma bite de mon boxer. Elle la saisit d’un geste et semble fascinée par cette longue colonne de chair. Ses doigts parcourent la hampe, elle ...
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