1. Une mégère apprivoisable


    Datte: 10/09/2019, Catégories: fh, handicap, amour, dispute, Oral préservati, pénétratio, amourcach,

    ... à la source de son sanctuaire. Trouvant sans doute que je suis un peu trop précautionneux avec elle, elle intervient bientôt : — Je ne suis pas en sucre. Baise-moi très fort, j’ai très envie de toi. Enfonce ta belle bite en moi, j’en ai rêvé toute la journée, je me suis caressée comme une folle en pensant à toi… Nous refaisons l’amour avec beaucoup plus de force et d’intensité que la veille. Elle veut que je lui fasse tout. Elle veut tout essayer. Elle me suce avec appétit et ne serait pas opposée à ce que j’essaie sur elle une sodomie. En fait, elle veut bien tout, toutes les positions, tous les fantasmes. Elle m’aime sans restriction et elle est prête à tout me donner. L’amour est sans complexe et elle exprime son plaisir sans fausse pudeur, un amour physique et bestial qui se traduit par des gémissements et des grognements félins. Je m’aperçois à quel point elle a besoin d’étreintes physiques. Je sens que sur ce plan-là, avec elle, je ne vais pas m’ennuyer. Le sexe a dû lui manquer durant toutes ces années, et elle en est vraiment friande. Nous nous endormons très tard dans la nuit, nous sommes vidés et repus. Nous nous réveillons bien plus tard enlacés l’un à l’autre, emboîtés l’un dans l’autre. — Veux-tu m’épouser ? demande-t-elle en se tournant vers moi.— C’est normalement à l’homme de proposer ça à la femme.— Eh bien tant pis, on change les habitudes.— Oui, je veux bien vous épouser Madame.— Mademoiselle, pour le « Madame », j’attends encore d’avoir la bague. Et ...
    ... combien tu veux de petits moufflets ?— Je ne sais pas, deux, trois.— Moi, j’irais jusqu’à quatre. Je crois bien qu’à nos âges, il ne faut plus traîner si l’on veut en avoir quatre, alors mieux vaut s’y mettre tout de suite. Et nous refaisons l’amour avant de partir. Personne ne nous attend, nous ne sommes pas pressés. Ces vacances, ça va être un peu comme notre voyage de noce. Nous laissons un message sur le répondeur pour Colette. Jessica tient à rajouter sa touche personnelle : « Je suis très, très, très amoureuse, Coco. Je crois bien que je ne vais plus pouvoir continuer à vivre avec toi, car je viens de trouver l’homme de ma vie et j’ai très envie d’aller habiter avec lui et chez lui ». — Tu n’aurais pas dû dire ça, elle va avoir une crise cardiaque. C’est un coup à la faire rentrer précipitamment de son voyage pour venir voir ce qui se passe.— De toute façon, elle le sait déjà que tu me plais, cela fait très longtemps que je lui ai dit. Je la soupçonne même de t’avoir mis entre mes pattes pour se débarrasser de moi : « Qu’elle s’en aille donc l’autre foldingue et qu’elle laisse la place pour mon petit Fabien ! »— Je ne te trouve pas très gentille avec elle. Ta sœur t’aime vraiment énormément.— Ah bon, c’est nouveau, ça ! Quand nous étions petites, à chaque fois qu’elle faisait une bêtise, elle s’arrangeait pour que l’on croie que c’était moi. Et puis elle me disait sans cesse que je n’étais pas belle, qu’elle était beaucoup plus jolie que moi. Que mon père ce n’était pas mon ...