1. Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 3)


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... d’esclave, les escarpins blancs à talons, la boucle fermée par un cadenas, les longs bas résilles blancs, le string blanc en dentelle, et le soutien blanc assorti, et la nuisette blanche transparente faisant comme une jupette et finalement le collier en cuir rose autour du cou. Mais au lieu de s’amuser avec moi, elles m’emmenèrent dans une chambre où se trouvaient déjà Stéphanie et Andréa, mirent les petites cages à nos sexes, ainsi qu’un gag dans la bouche, nous empêchant de proférer le moindre son… et elles nous firent entrer… dans des grandes cages cubiques, où un homme pouvait tenir assis, guère plus. Elles refermèrent à clef les portes des cages après que nous y soyons entrés…Soudain Noemy entra dans la pièce. Elle était splendide. Rayonnante. Elle nous regarda tous les trois.- Demain est un jour important ! Vous devez rester dans ces cages, pour réfléchir à votre condition, l’accepter, l’intégrer. ParHéra, de mâle que vous étiez, vous êtes maintenant esclave, esclave de nos corps, de nos désirs. C’est l’avenir des hommes ! Mes sœurs et moi devons rester pure jusque demain, au moment où la lune sera complètement pleine, à son apogée, pour que Sélénée et Artémis puissent bénir le rituel. Ensuite vous pourrez jouir à votre tour de ce que nous vous donnerons…Sur ces paroles énigmatiques, elle s’en alla. Nancy et Kimberly jetèrent de grandes couvertures sur les cages, les recouvrant complètement. J’entendis des pas puis la porter claquer, puis plus rien… Depuis des jours ...
    ... j’étais habitué, tous les soirs, à avoir un sexe en bouche ou dans le cul… et là ça me manquait ! Je sentais mon petit anus palpiter, mon ventre se nouer… jamais je n’avais ressenti une telle envie de sexe ! Je ne sus dire combien de temps s’écoula… des heures certainement… mais cela me sembla une éternité… Soudain, j’entendis le bruit de la porte s’ouvrir. Je ne pouvais proférer le moindre son, mais mes sens étaient aux aguets, j’avais tellement envie de voir la couverture se retirer, et le gros sexe de Nancy pointé vers moi… Mais au lieu de cela, je sentis la cage comme soulevée, puis je fus bousculé de gauche à droite… bon sang, on transportait les cages ! Puis ce fut plus stable, et j’entendis le bruit de roues sur le tapis, puis sur le linoleum. Les cages avaient été mises sur un chariot. J’entends le bruit distinctif de portes d’ascenseur s’ouvrir et se refermer, le bruit des roues du ou des chariots sur le béton, le bruit de la porte coulissante d’une camionnette qui s‘ouvre… puis la cage est de nouveau transbahutée, puis poussée. J’entends le tintement d’une autre cage qui cogne la mienne. Un dernier bruit, puis la porte de la camionnette qui recoulisse pour se refermer…Tandis que le moteur s’enclenche et que le véhicule commence à rouler, je suis dans un tel état de manque que je ne me demande pas « où m’emmène-t-on ? » mais plutôt « y aura-t-il du sexe là où on m’emmène ? » La camionnette ne roule pas si longtemps que ça, avant de s’arrêter. Le manège reprend : porte ...
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