1. Cocu… volontaire 9 passera passera pas ?


    Datte: 10/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... résultat réel et durable, je prêterai René aussi souvent que cela sera nécessaire. Malgré tout, si sa participation est gratuite aujourd’hui, à l’avenir je réclamerai une compensation. - Une compensation ? Ce type te manque déjà à ce point ? Tu devrais comme moi être satisfaite d’assister à sa première victoire. Il vient de me fournir des motifs de reconnaissance en rallumant la flamme chez ma femme et en relançant mon désir de l’imiter bientôt au moment où je commençais à désespérer. Quelle compensation te faudra-t-il , de l’argent ? Que pourrait t’accorder Émilie que tu ne possèdes pas déjà ? Ne me dis pas qu’elle et toi entretenez une relation amoureuse et que tu espères la renforcer par cette offrande de ton amant pour mieux attirer à toi mon épouse? - Tu mérites que je t’embrasse. Tu es tellement chou. Non, nous ne sommes pas lesbiennes, rassure-toi. Tu sauras bientôt ce que j’exigerai en échange de mon amant. Sois patient, je te réserve une bonne surprise. Approche, tiens ton bisou - Hep, vous deux, je vous vois. Depuis le canapé Émilie souffle avant le prochain assaut et la partie la plus importante de la rencontre,et elle se permet de nous rappeler à l’ordre. Elle oublie facilement ce qu’elle a fabriqué avec ce type, pour oser s’occuper d’Angèle et de moi. Elle aurait des droits qu’elle me refuserait, je n’en reviens pas. Pour un bisou d’Angèle sur les joues, je serais un mari fautif tandis qu’elle offre sa vulve à chauffer à René en toute innocence. Mieux vaut ne ...
    ... pas relever. D’ailleurs René reprend l’initiative, présente à l’œillet de l’anus son index enrobé de cyprine et provoque un coup de reins et un bond de croupe aussi inattendus que la protestation qui jaillit. -Non, pas mon cul. Mon mal n’est pas là. - Pardon, Émilie, tout ton corps est prisonnier de ce mal, chaque partie doit être associée au traitement. Demande à nos témoins si ce n’est pas vrai. Je n’en sais rien, mais je hoche la tête en guise d’assentiment. Angèle approuve d’un : - René est l’expert. Fie-toi à son savoir faire. En premier il doit soigner ton sexe, nous verrons ensuite de quoi peut avoir besoin ton joli petit cul craintif. Puis elle se retourne pour cacher son fou rire. Ma femme hésite, m’interroge encore du regard. Sans doute pense-t-elle à tous les refus qu’elle m’a opposés quand je tentais une incursion dans ces parages joufflus et qu’elle m’accusait de perversité dès que je touchais le petit trou qu’elle protégeait en serrant les fesses. Alors si, en plus de la ramener sur le chemin de relations sexuelles par voies naturelles, disons « normales », si donc ce René parvient à ouvrir la voie anale, j’aurai tout gagné en lui offrant occasionnellement les moyens de guérir mon épouse. Je souris et j’encourage: - Mais oui, ma chérie tout est lié en matière de sexe et de plaisir. Pour une fois Émilie me fait confiance : en une phrase j’ai été plus persuasif que dans de longues discussions pendant des années de mariage. Décidément le contexte est spécial, Émilie ...
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