Cocu… volontaire 9 passera passera pas ?
Datte: 10/09/2019,
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Dans la zone rouge,
... adore soudain ce qu’elle a brûlé si longtemps. Elle n’osait pas reconnaître qu’elle souhaite tout accorder à ce garçon, y compris la pénétration de son cul. Maintenant quoi qu’il arrive, elle pourra toujours prétexter que c’est son mari qui a tout prescrit, même la sodomie ! Alors, d’un bond, elle se lève et remonte sur le canapé, prête à endurer le pire, « puisque Jean le veut ». Mains sur le dossier, figure dirigée vers le mur, sous la cambrure des reins, elle tend son derrière au-dessus de ses cuisses et de ses genoux, à hauteur du visage de l’acteur lui-même encore agenouillé devant le canapé et surpris de l’exposition franche du splendide arrondi de cette croupe poussée vers lui et fendue de haut en bas par la raie du cul puis, sous le pont du périnée, par la ligne de séparation des grandes lèvres de la vulve. Tout est là, généreusement étalé et offert à son bon vouloir d‘amant élu, non une croupe décharnée d’adolescente, mais une croupe pleine de femme, large, bien fournie en muscles, une croupe confortable, un cul d’occasion mais hélas encore vierge ou presque. Quel homme résisterait à l’attrait de ces cavernes à visiter ? Chaque grotte a ses mystères depuis la plus haute antiquité et on célèbre ses découvreurs. Ce soir René va me voler le titre qui me revenait en qualité de mari. L’occasion est trop belle. Il ne s’agit pas de laisser à la femelle en chaleur le temps de se reprendre. L’homme encadre de ses deux mains les hanches et les fesses, se courbe et se jette ...
... nez en avant dans la longue sente qui mène des environs de l’anus à la racine du clitoris. Dans une première exploration le nez hume les odeurs particulières et fortes mais si variées de ces contrées intimes, ce mélange fauve de senteurs qui avait imprégné la petite culotte humée auparavant avec ivresse. Mais au contact direct de la peau et des muqueuses, ces sensations enivrent, rendent fou, libèrent les instincts. Et pour une nouvelle fois, la langue épouse sur toute leur largeur les rives de chair qui bordent les plis en creux du haut de la croupe ou du vagin. Elle les parcourt avec gourmandise, monte, descend, va, vient, s’arrête pour creuser l’entrée de la grotte et repart. La langue lèche, frétille, fouille. En réponse le fessier se resserre ou se détend, se met en transes. Deux doigts cherchent la mouille dans le sexe féminin puis attaquent le petit orifice. Cette fois le sphincter est franchi. René se poste sur le côté et nous avons vue directe sur le travail de forage de l’index et du majeurs associés et tourbillonnant dans l’arrière train gagné d’un mouvement incontrôlé. Émilie apprécie ronronne, s’ébroue, se tord . René sape longuement les appréhensions anciennes et demande : - Alors, ça te plaît ? - Je n’aime pas trop, arrête, j’ai envie de toi. Oh! Viens, prends-moi, baise-moi, remplis-moi. Elle s’arrache à la prise des doigts, se renverse sur le dos, jette une jambe contre le dossier du canapé, laisse pendre l’autre dans le vide, présente largement son sexe, puis ...