1. Le petit short noir (Dernier épisode)


    Datte: 10/09/2019, Catégories: groscul, plage, amour, Oral fsodo,

    ... années d’ignorance de petits riens et de grands évènements. Une heure plus tard, le soleil était bas et elle voulut se rhabiller. J’en profitai pour détailler son corps et la désirer plus encore. Elle le sut et ne fit rien pour hâter son geste malgré le vent frais qui montait. Puis vint l’heure de la séparation. Nous tardions à nous dire un au revoir peut-être ultime, et comme souvent par le passé, ce fut elle qui prit les devants : — Écoute, je suis seule cette semaine ! Peut-être on pourrait… enfin si tu as du temps… Tu pourrais passer chez moi. J’habite face à la carrière, maintenant. Tu te rappelles ? Elle sourit, mais ses yeux étaient tristes, d’une nostalgie qui appartenait à un passé trop lointain. — Oui ! dis-je sans hésitation. Quand ?— Demain soir ?— OK, je serai là ! Puis je lui fis un petit bisou sur le coin des lèvres. Elle ne bougea pas. Le lendemain, à l’heure dite, j’étais là avec un bouquet de fleurs. Elle ouvrit la porte de sa maison, pieds nus et avec une petite robe d’été échancrée sur ses seins. Elle respira mon bouquet avec un plaisir confondu, puis m’entraîna dans son salon. Une bouteille de champagne nous attendait sur un guéridon et une petite musique renforçait l’impression d’érotisme qui planait tout autour de la pièce. — Il faut qu’on fête nos retrouvailles, tu ne crois pas ? Quatre coupes et quelques slows plus tard, nous étions dans les bras l’un de l’autre. Sous l’effet rapide de l’alcool, nos pas de danse étaient moins harmonieux et Cathy ...
    ... parlait exagérément fort, riant à chacune de mes réponses, même quand mon humour manquait d’originalité. Mes mains devenaient franchement baladeuses, passant de ses hanches à ses fesses, puis de son cou à ses seins qui débordaient de plus en plus de son corsage, et à un moment, elle saisit ma queue à pleine main en riant une fois de plus. — Si tu continues à m’tripoter comme ça, moi aussi j’vais t’attraper ta grosse bite ! Puis elle colla ses lèvres contre les miennes sans vraiment m’embrasser. — Au fait, j’t’ai pas dit bonjour aujourd’hui.— C’est vrai, ça ! répondis-je en lui saisissant les deux fesses à pleines mains sous sa robe. J’t’ai connue plus polie dans le passé… Elle me lança une œillade coquine, puis se laissa glisser sur les genoux sans me quitter des yeux. Elle attrapa ma ceinture et commença à me retirer le pantalon en bougeant frénétiquement son cul. Lorsque le vêtement fut à mes chevilles, c’est toujours sans me quitter des yeux qu’elle remonta d’un grand mouvement de langue le long de ma verge à moitié dressée. Elle accentua peu à peu son rythme et donna de gros baisers bruyants sur mes couilles que j’avais rasées « au cas où » pour l’occasion. Puis comme je l’avais espéré toute la journée, elle me suça avec l’avidité que je lui connaissais jeune fille. Je réussis à dégager ses deux grosses mamelles de sa robe et me mis à les presser sans retenue. J’étais dans un état second, mais c’est le moment qu’elle choisit pour arrêter sa pipe majestueuse et quitter le ...