J'étais juste son prof particulier. (3) - Histoires de Sexe

J'étais juste son prof particulier. (3)

... toi, intelligent, mignon, fort, stable, courageux. Mais je veux aussi un homme qui lui apporte tout ce dont elle a besoin pour la satisfaire dans ses désirs de femme. Et ça je ne sais pas si tu peux lui apporter ce qu’elle veut. C’est pour ça que je t’ai demandé de venir en fait. Sans cours votre relation s’effondre. Donc si tu veux que les cours continuent, il va falloir me prouver que tu es un homme fait pour ma fille." J’ai du mal à comprendre ce qu’elle attend de moi. "Je ne comprends pas trop ce que je peux faire pour vous convaincre" "Rien de compliqué" dit elle en se levant et en s’approchant de moi. Elle enlève alors son haut et je me retrouve face à la mère de mon élève torse nue. Puis elle enlève son bas et en une fraction de seconde j’ai à mes côtés une femme, la cinquantaine, nue. Derrière la porte, la femme de ma vie que j’aime. Je comprends que si je veux poursuivre cet amour je devrais commencer par satisfaire sexuellement les besoins de sa mère. Je dois dire qu’elle ne me laisse pas indifférent. C’est une belle femme, fine, petite. De belle petites fesses et de petits seins. Les mêmes attributs que sa fille, juste un peu plus usés par la vie. Mais cela m’excite tout de ...

... même. Elle s’assied sur moi et malaxe ma queue. Je touche ces seins qui me sont offerts et les malaxe. Elle ne tarde pas à baisser mon pantalon et à me branler. Je lèche ses seins un moment. Dès que j’arrête, elle se lève et s’allonge sur son bureau ou elle a pris soin d’enlever ses pots à crayons. Elle attend. Je me lève, et la tire par les jambes pour approcher sa chatte de mon pieux. Alors que sa fille a réveillé en moi mon côté sentimental, la mère réveille le côté animal. Je commence à la pénétrer et rapidement je lui donne des coups de reins rapides et brutaux. Je l’entends jouir intérieurement. Je dois la faire grimper au septième ciel pour accéder à la femme que j’aime. Je tente alors un coup de poker. Je sors de sa chatte et entre brutalement dans son cul. Les efforts paient, en quelques secondes, ma queue étant plutôt volumineuse et son anus serré, elle est prise par de violents spasmes de jouissance. Elle crie si fort que je crains que mon amour l’entende. Je continue de la pilonner jusqu’à jouir dans son cul et la chaleur de mon sperme lui procure un second orgasme. Elle ne dit rien. Je reste en elle, immobile, couché sur elle. Puis elle bredouille : ywnyfq "Carte blanche".