1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°887)


    Datte: 11/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... temps, celui qui était bien le Châtelain, accéléra encore la cadence. Quand Sa queue était dans ma chatte, Ses doigts étaient dans mon cul et inversement. Je ne tenais plus, je gémissais, je n’étais plus qu’une boule de nerfs malmenée, je ne contrôlais plus rien si ce n’était ma jouissance qui montait rapidement. Je Le suppliais du regard de m’autoriser à jouir, et après m’avoir regardé fixement quelques secondes, Il inclina la tête en signe d’assentiment, alors je laissais éclater certainement le plus gros orgasme que je n’avais jamais eu, bruyamment, au moment où Il se libérait dans ma chatte… On me laissa souffler un peu, puis on me détacha de la table et me fit mettre à genoux. Le Maître attrapa une corde. Il fit de savants passages sur mon corps, relevant ma poitrine, passant entre mes cuisses pour retrouver mon collier, reliant mes chevilles au cou, encerclant mon ventre, pour souligner le dessin qu’il y avait fait et que je n’avais pas encore vu, me laissant manipuler pour Le laisser achever son œuvre. Il se recula pour l’admirer, l’homme et la femme « active » se tinrent à Ses côtés, la seconde femme timidement en retrait. Ils enlevèrent tous leur masque, découvrant ainsi effectivement le Maître, Walter et Marie, et une jeune femme que je ne connaissais pas, me faisant baisser la tête, autant que la corde me le permettait me faisant découvrir ainsi les Initiales MDE en cire bleue, sur un fond de cire orange et jaune. - Tu es magnifique ainsi bondagée Ma chienne ! ...
    ... Dommage qu’Il me faille te punir pour avoir ouvert ta petite gueule de chienne… J’espère que tu auras à cœur de ne pas laisser échapper le moindre son cette fois-ci. Il attrapa un fouet et m’assena cinquante coups, que je subissais dans le plus grand silence et sous l’air complètement effaré de la jeune femme. À la fin de ma sanction, le Maître reprit la parole, en s’approchant de moi et en me caressant. - Ma chienne, je suis fier de toi, tu as subi ta punition sans le moindre murmure, le moindre gémissement. Tu vois cette femme ? Elle se dit vouloir devenir soumise et être prête à tout pour être acceptée dans notre monde, et plus particulièrement à Mes pieds. Je lui ai proposé de venir ce soir pour voir ce que cela impliquait vraiment et je suis fier de ton comportement. Walter et Marie, ramenez-la chez elle, j’ai encore à faire avec Ma chienne. Après leur départ, le Maître me laissa ainsi attachée encore vingt minutes, en me regardant. Je restais sans bouger, sereine. J’avais mérité la fierté du Maître, malgré que je n’eusse pu obéir jusqu’au bout en criant et gémissant malgré moi. Je me sentais profondément heureuse d’être. Après ces vingt minutes immobiles, Il me détacha, me massa doucement pour que mes muscles reprennent vie petit à petit. Puis patiemment, tout en me caressant, Il enleva toute la cire qui me recouvrait. Ses caresses m’avaient de nouveau excitée et j’étais trempée, ce dont il s’aperçut en enlevant la cire de mes lèvres intimes. Sur un petit sourire, Il ...