1. Gavage d’une oie blanche (1)


    Datte: 11/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... portais. Il me pelota sans vergogne, malaxa mes seins, mes fesses ; je laissai faire, j’étais totalement inerte, tétanisée à l’idée de ce qu’il allait me faire. Il m’entraîna dans la chambre. Un fois arrivés, il ouvrit brutalement mon chemisier, arrachant les boutons, fit jaillir mes seins du soutien-gorge et les mordilla, puis il me jeta sur le lit, me fit mettra à quatre pattes et retroussa ma jupe. - Putain quel cul, avec le collant il fait encore plus gros, j’adore. Je vais t’exploser ton petit trou pouffiasse. Ce disant il saisit le collant à pleines mains et tira, j’entendis un craquement, le collant avait cédé, ma culotte fut aussi arrachée ; j’étais maintenant à sa merci, non consentante mais incapable de résister, tendue, crispée, attendant de subir mon viol. Il se mit à me fesser copieusement, à chaque coup tout mon corps frémissait et je poussai un cri. Il prit le tube de gel lubrifiant sur la table de chevet et me dit : - Bon j’arrête de te faire peur, détends-toi, je ne vais pas te déchirer, je vais bien te préparer puis t’enculer en douceur, tu n’auras pas plus mal que hier soir, tu verras je ne suis pas une brute comme tu le crois. J’étais un peu rassurée mais loin d’être détendue. Il fit de nouveau couler le gel dans ma raie et commença à me travailler l’anus. Comme quelques heures plus tôt il me pénétra progressivement avec ses doigts mais il prit plus de temps ; ça passait effectivement mieux que la première fois. Ça dura longtemps, et à vrai dire ça ne ...
    ... fut pas désagréable, bien au contraire. Quand il estima que j’étais prête il me prit pour de bon, entrant lentement en moi. La douleur, même si elle était présente fut moins vive que je m’y attendais. Il me baisa longuement, il était particulièrement endurant ; je coopérai, cambrant mes fesses autant que je pouvais et haletant de plus en plus fort. Il finit par jouir, je sentis son jus tiède dans mes entrailles. Si de mon côté je n’étais pas parvenue à l’orgasme je sentais que je n’en étais pas loin ; lui aussi avait dû le sentir car tout en restant en moi, il me masturba jusqu’à ce que je jouisse. Il me présenta ses doigts humides et me fit les lécher. - Déguste ton jus, c’est bon, moi je t’ai déjà goûtée. Je léchai. Quand il sortit enfin de moi nous nous allongeâmes l’un contre l’autre, son ventre contre mon dos. Il me demanda de serrer mes fesses pour garder son sperme en moi le plus longtemps possible. Il me caressait doucement, m’embrassa dans la nuque. Il pouvait se montrer beaucoup plus tendre que je le pensais. Je lui dis que je regrettai de l’avoir jugé un peu hâtivement, j’avais eu tort de le prendre pour une brute, il me répondit que ce n’était pas grave et que je lui avais donné du plaisir, qu’il avait apprécié d’avoir été le premier que j’accueillais dans mon cul. - Et je suis sûr de ne pas être le dernier, tu vas y prendre gout, tu verras. En quoi il ne se trompait pas, vraiment pas du tout. Au bout de quelques minutes je ne pus plus me retenir et je sentis son ...