1. Gavage d’une oie blanche (1)


    Datte: 11/09/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... curiosité car je n’avais aucunement l’intention de tromper mon mari, surtout vu sa situation dramatique. Il était devenu totalement dépendant et avait besoin de moi ; il n’était pas question de le trahir. De fil en aiguille j’arrivai sur des sites de lingerie puis des sites carrément pornos. Je découvrais des pratiques que je croyais jusque-là réservées à quelques pervers, il y en avait apparemment beaucoup et ces pratiques semblaient très répandues. Un jour je me décidai à renouveler radicalement ma garde-robe intime, je réalisais que depuis toujours je portais des dessous « tue l’amour », je commandai des parures en satin et dentelle, je remplaçai mes chemises de nuit en coton par d’affriolantes nuisettes plus que transparentes. Moi qui n’avais porté jusque-là que des collants je découvris le bonheur de mettre des bas, une porte jarretelle. Je ne portais quasiment jamais de robe ou de jupe depuis mon adolescence, je décidai de changer. J’achetai donc robes et jupes, mais de facture très sage, nullement provocantes, ni trop courtes ni trop décolletées. Je me rendis compte que je n’étais pas si mal que ça, certes un peu petite, quelques rondeurs ; mais ma nouvelle garde-robe mettait bien mes formes en valeur. Je passais des heures entières à me regarder dans mon miroir une fois que je me retrouvais dans ma chambre. J’étais la seule à bénéficier du spectacle et il m’arrivait de regretter qu’un homme ne puisse pas en profiter mais je refoulais vite cette pensée. Quand je ...
    ... sortais on ne pouvait pas deviner ce que je portais sous mes vêtements, ça me plaisait énormément et quand je croisais un homme qui me plaisait (ma fidélité sans faille ne m’empêchait pas de regarder les hommes et d’imaginer… mais seulement d’imaginer…) il m’arrivait de me dire « toi si tu savais ce que je porte en dessous … ». Je remarquai rapidement que j’attirais plus le regard des hommes depuis que j’avais changé de style vestimentaire. Petits plaisirs bien innocents après tout. Mon mari décéda en 2010, j’avais cinquante et un ans et me retrouvais seule dans une région que je connaissais mal, sans famille proche, sans amis. Je dus me résoudre à trouver un emploi même si mon mari avait pourvu à ma sécurité financière, mais si je voulais conserver cette grande propriété il faudrait que je trouve un complément. Il n’était pas très raisonnable de rester seule dans cette grande maison, mais au fil des années j’avais appris à l’aimer et ne me voyais pas vivre ailleurs. J’eus de la chance et trouvai assez rapidement un emploi de secrétaire à mi-temps dans la petite ville à proximité. Cela me permit aussi de nouer quelques relations, mais exclusivement féminines. Après environ un an de veuvage je décidai de tenter des rencontres, je passai quelques annonces sur plusieurs sites, je cherchai plutôt à rencontrer des hommes un peu plus âgés que moi. Après quelques contacts par messagerie instantanée et deux rencontres décevantes je décidai de changer de cible. Mes contacts étaient soit des ...
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